Le système éducatif en Algérie, un véritable fiasco ! Selon les dernières statistiques de l’Organisation mondiale de l’éducation, notre pays est classé dans la catégorie noire en termes de qualité et d’efficacité de l’éducation. Mais, ce n’est pas tout. Nos écoles et nos universités sont devenues des antres de la décadence morale, où se côtoient criminels, toxicomanes, prostituées et homosexuels.
Et qui est responsable de tout cela ? Eh bien, il n’y a pas besoin de chercher bien loin. Le gang d’El Mouradia, bien sûr ! Ces tyrans n’ont qu’un seul objectif en tête : maintenir le peuple dans l’ignorance, le laisser courir après ses instincts primaires et le transformer en une armée de toxicomanes. Tout cela pour mieux le manipuler et le plonger dans la misère la plus totale.
Pendant ce temps, les fils de généraux se pavanent dans les rues avec leur richesse et leur pouvoir. Ils se délectent des fruits de la corruption, de l’injustice et de la tyrannie qui règnent en maîtres dans notre pays. Pendant ce temps, les pauvres sont condamnés à la famine, l’humiliation et la pauvreté, incapable de satisfaire leurs besoins les plus élémentaires.
Mais que fait le gouvernement pour remédier à cette situation catastrophique ? Pas grand-chose, si ce n’est regarder ailleurs et continuer à se remplir les poches. Pendant ce temps, la population sombre de plus en plus dans le désespoir et la frustration, attendant que le prochain tremblement de terre ou la prochaine catastrophe naturelle vienne mettre fin à leur souffrance.
En fin de compte, c’est toute la société algérienne qui en souffre, victime d’un système éducatif défaillant et d’un gouvernement corrompu et indifférent. Espérons que les choses changeront bientôt avant qu’il ne soit trop tard.
Le discours du chef des ânes à l’Assemblée populaire nationale, Ibrahim Bougali, n’a pas manqué de faire réagir la population. En effet, alors qu’il évoquait la vertu de l’Algérie en matière de formation et d’éducation des étudiants africains, nombreux sont ceux qui se sont insurgés contre cette affirmation. Et pour cause, chaque semaine, les corps de ces mêmes étudiants africains sont retrouvés, trempés de sang et jetés brutalement hors de la ville.
Malgré leur manque de chance, ces étudiants sont venus au pays des Quarante Voleurs et sont traités de la pire des manières. Victimes de racisme et d’intimidation, ils sont appelés les pires noms et sont l’objet d’insultes et d’injures de la part de toutes les couches de la société, des enfants aux personnes âgées. Seules les femmes semblent leur accorder un peu de douceur et d’affection, pour des raisons que nous ne connaissons pas encore. Elles leur fournissent nourriture, logement et même de l’argent !
Pourtant, lorsqu’il s’agit d’envoyer des cadeaux aux pays voisins, les généraux rassemblent tous les Africains, sans exception, étudiants, travailleurs et harragas, pour les placer aux frontières et les faire passer clandestinement dans les pays voisins, en gage d’amour et de bon voisinage. Mais d’où vient donc le mérite de ces pauvres gens, alors qu’ils sont traités comme des bêtes dans la nouvelle Algérie ?