Le cycle menstruel de Tebboune inonde les citoyens d’illusions et de fausses promesses

Les temps ont bien changé, et c’est avec une grande ironie que l’on constate que même le président de notre cher pays est atteint d’une « maladie mensuelle », semblable à celle du cycle menstruel chez les femmes. Pendant cette période, il semble que sa personnalité devienne trouble et ses mensonges encore plus nombreux. Nous sommes ainsi contraints d’assister à des conférences de presse mensuelles, animées par la presse des égouts, au cours desquelles il déverse ses douleurs, ses rêves et ses illusions sur le peuple. Et comme à chaque fois, Tebboune, le « Musaylima al-kadhdhâb » ne cesse de propager des mensonges et de falsifier les faits afin de vendre des illusions au peuple et de faire croire aux citoyens que nous sommes le peuple élu de Dieu.
Au cours de chaque cycle mensuel du président fantoche, Tebboune, il nous inflige une série de données déconnectées de la réalité. Il prétend que le citoyen algérien vit mieux que tous les autres citoyens de la région de l’Afrique, que notre revenu individuel équivaut à celui des citoyens du Golfe et d’Europe, que les conditions de vie décentes sont disponibles pour tous les citoyens et que le revenu annuel des richesses et des exportations du pays atteint 500 milliards de dollars. Il prétend également que nos produits agricoles et industriels ont envahi les marchés mondiaux dans leur intégralité. La quantité de mensonges qu’il nous assène suffirait à nous faire croire que nous vivons sur la planète Mars, bien loin des habitants de la Terre.
Pourtant, il est temps de rappeler au cher président Tebboune que nous sommes aujourd’hui connus sous le nom de « Pays des files d’attente » entre les nations du monde. Nous vendons nos filles aux pays du Golfe et d’Europe pour une poignée de dollars verts, tandis que des centaines de jeunes algériens meurent chaque semaine sur les côtes européennes. Chaque jour, nous enregistrons presque un suicide dans tout le pays, et des milliers de sans-abris meurent de froid et de faim. Des exemples tels que la professeure universitaire Fella Borsali et L’ancien footballeur international Abdelmalek Ali Messaoud en témoignent. De plus, la propagation des homosexuels dans notre pays est telle qu’il en est même publié un Coran algérien spécifique pour eux. Et que dire des viols d’enfants et d’hommes dans les postes de police ?
Alors de quelle prospérité parle-t-il et de quelle vie décente se vante-t-il ? La patience a ses limites et les oppresseurs ont une fin. Il est grand temps que le président fantoche, Tebboune attende sa fin rapidement, car le déluge est arrivé et la patience des sages a pris fin.