La nouvelle drogue des généraux envahit l’Algérie

La consommation de drogues est devenue un phénomène préoccupant au sein de différentes couches de la société algérienne, en particulier chez les jeunes, les adolescents et même dans les écoles. Malheureusement, il n’existe pas de stratégie gouvernementale efficace pour lutter contre la toxicomanie et freiner sa propagation. Pire encore, les autorités n’ont pas pris de mesures suffisantes pour contrer ce fléau.
En effet, il est largement reconnu que les militaires au pouvoir en Algérie ont un rôle à jouer dans la facilitation de la distribution de drogues auprès des mineurs, sans que la population en soit informée.
La consommation de drogues est un problème qui menace l’avenir des générations futures et met l’avenir de l’Algérie en danger. Les politiques gouvernementales sont fortement critiquées pour leur incapacité à prendre des mesures concrètes pour lutter contre cette épidémie. Il n’existe pas de centres de traitement ou de programmes de réhabilitation efficaces pour les toxicomanes dans le pays, ce qui contribue grandement à la propagation de la drogue. Les parents et les associations éducatives sont préoccupés par l’impact de la toxicomanie sur la vie des enfants algériens, d’autant plus que la consommation de la nouvelle drogue « tchouchna » se propage rapidement. Cette drogue est devenue populaire en raison de son faible coût, mais elle est extrêmement dangereuse et mortelle pour ceux qui l’utilisent.
Les activistes des droits de l’homme tirent la sonnette d’alarme et avertissent que les écoles deviennent des lieux propices à la vente de drogue. De même, les associations de lutte contre la drogue mettent en garde contre les dangers de la consommation de la drogue  » tchouchna « , surnommée « cocaïne des pauvres », qui a la capacité de détruire le système nerveux en quelques jours seulement. Cette drogue provoque des hallucinations chez les utilisateurs, qui peuvent les pousser à commettre des crimes ou même à se suicider. La question qui se pose est la suivante : qui est derrière la propagation rapide de ces drogues dans les maisons, les écoles, les entreprises, les mosquées et les universités ? Qui tire profit de l’argent considérable généré par le commerce de la drogue en Algérie, et pourquoi les responsables ne prennent-ils pas des mesures pour y mettre fin ?
La consommation de drogues en Algérie est un problème grave et urgent qui nécessite une action immédiate et coordonnée de la part des autorités gouvernementales, des parents, des enseignants, des associations de lutte contre la drogue et de la société dans son ensemble. Les citoyens algériens ont besoin d’une solution concrète pour protéger leur vie et leur avenir, ainsi que ceux de leurs enfants.