Phénomène unique dans le monde : la propagation des pilules contraceptives chez les hommes en Algérie

Cher lecteur, ne soyez pas surpris par mes propos, car je vous parle en toute objectivité des faits et des données présentes sur le terrain. Si le régime des généraux continue à gouverner en Algérie, toute la population deviendra des déviants, comme le peuple de Loth. Tout le monde sait que le tiers de la population est déviant depuis l’arrivée des généraux au pouvoir, depuis Chadli Bendjedid jusqu’à Abdelmadjid Tebboune. Cela explique ce qui se passe dans les casernes militaires, où les soldats s’adonnent à l’homosexualité dégoûtante entre eux, échangeant des épouses et s’embrassant, comme en témoignent les vidéos exclusives et réelles qui circulent sur les réseaux sociaux.
Abidat Abdelkrim, président de l’Organisation nationale de protection de la jeunesse a révélé des faits choquants sur la nouvelle substance que les jeunes utilisent pour ressentir l’extase sexuelle et le confort, les pilules contraceptives remplies d’hormones féminines. Ces pilules ont gravement affecté une génération de jeunes, altérant leur masculinité et leur nature créée par Dieu. Cela a été découvert lors de séances de thérapie dirigées par une équipe de médecins et de spécialistes au centre de Bou Saâda, où ces jeunes ont montré des comportements étranges, parlant, marchant et s’habillant comme des femmes.
Certains d’entre eux viennent au centre avec un maquillage complet et des boucles d’oreilles, imitant parfaitement les femmes comme notre boxeuse olympique Iman Khalif, qui a été expulsée du championnat du monde en Inde (il est possible qu’Imane ait été mentionnée au masculin dans le passé, mais elle est devenue accro aux pilules contraceptives !). L’essentiel est que cette génération de jeunes hommes se comporte comme des femmes, ce qui plaira aux vieux du palais d’El-Mouradia qui veulent voir leur domination augmenter sur les garçons. Il ne restera plus un seul homme capable de leur résister en Algérie, et la crise algérienne, dont le défunt Boumediene parlait toujours, s’aggravera, c’est « une crise d’hommes ».