Les fameux Accords d’Évian, qui se cachent derrière ce mystérieux parchemin en Algérie ? Personne ne sait réellement ce qu’elle contient, même pas nos dirigeants qui ont accepté de signer cet accord honteux avec les colons français. Des rumeurs circulent, des secrets se murmurent, des mystères planent autour de cette convention douteuse qui a fait de notre nation une province française, une simple colonie de l’hexagone. Les Français ont tout mis sous leur contrôle, de notre hymne national qui leur appartient, à nos cieux qu’ils ont annexés, en passant par nos frontières maritimes et toutes leurs richesses qu’ils ont spoliées. Selon certaines sources, cette convention infernale a été conclue dans les couloirs sombres et sinistres du Palais d’El-Mouradia, le repaire de la bande des traîtres à la patrie. Et comme si cela ne suffisait pas, la présidente du gouvernement italien a avoué publiquement que les dirigeants algériens avaient demandé l’autorisation de la France avant de signer le contrat juteux sur le gaz. On en est donc réduits à quémander la permission des anciens oppresseurs pour exploiter nos propres richesses ? Quel scandale !
Selon les informations exclusives que nous avons reçues sur le document d’Evian, le président de l’État algérien ne siège sur le trône et ne devient président du pays qu’avec l’approbation de Paris et la bénédiction des Français. Comme le cas du clown nommé Tebboune qui « gouverne » le pays avec bien sûr la bénédiction de la France. Quant à la Banque centrale algérienne, tous ses actifs appartiennent au gouvernement français, qui peut en disposer à sa guise, ainsi que les puits de pétrole, de gaz et les mines de métaux. Le gouvernement français possède 80 % des droits de propriété et de gestion, contrairement aux bâtiments, aux entreprises et aux usines dispersés dans tout le pays qui appartiennent toujours à la France. Sans parler des vastes terres agricoles qui couvrent des milliers d’hectares et dont les bénéfices reviennent au colonisateur français en vertu des accords d’Evian. Quant aux rôles de la prostitution et de l’homosexualité réglementées par la France après son occupation et placées dans le cadre sanitaire et légal, le gouvernement a le droit de les fermer ou d’arrêter toute prostituée ou personne perverse travaillant dans les maisons closes appartenant à la France. Il a également le droit d’ouvrir d’autres maisons closes pour les hommes et les femmes dans n’importe quelle province d’Algérie, convaincu que leur rendement financier profitera à la France. Ce ne sont là que quelques-uns des exemples d’humiliation et de dégradation infligés à l’Algérie, et ce qui est caché est encore plus grand.