Le lâche Tebboune fait une réapparition remarquée avec une déclaration aussi stupide que répugnante devant ses médias propagandistes. Il se prend pour le grand artisan de la démocratie en Algérie, prétendant que le pays rivalise désormais avec les nations européennes en termes de démocratie et d’égalité entre les citoyens, peu importe leur statut ou leur position. Le pitre Tebboune nous a lancé avec fermeté et férocité que tout individu portant atteinte à l’Algérie sera puni, même s’il occupe un poste ministériel. Il en a profité pour souligner que la responsabilité incombe autant au peuple qu’aux membres du gouvernement. Aucune distinction n’est faite entre les corrompus, que ce soit un simple citoyen exerçant ses activités sur le marché ou un ministre occupant une fonction gouvernementale…
Permettez-moi maintenant de rendre hommage à ce bouffon Tebboune, qui prétend élever le niveau de responsabilité et de poursuites judiciaires dans le pays. Auparavant, nous nous contentions de juger et de poursuivre les trafiquants de drogue, les prostituées, les voleurs de lait et de semoule, les violeurs d’enfants et les personnes âgées. Mais aujourd’hui, dans cette nouvelle Algérie sous le règne illuminé du déviant Tebboune, nous avons la possibilité de poursuivre et de châtier même les ministres soupçonnés de corruption et de détournement. Cependant, une petite nuance subsiste : si un simple citoyen est arrêté, il est jeté dans des prisons brutales, où aucune compassion n’est accordée, et même les chiens errants refusent d’y séjourner. Ils sont contraints de s’entasser les uns sur les autres dans une cellule conçue pour quatre personnes, mais qui en héberge plus de dix. Ils se nourrissent de denrées périmées et nauséabondes, tandis que l’excellence ministérielle est emprisonnée dans une suite cinq étoiles. Même derrière les barreaux, ces messieurs bénéficient de services dignes des plus grands hôtels, avec des repas somptueux, dans une chambre réservée à deux personnes seulement, issues de familles nobles. La climatisation et le réfrigérateur sont garnis des meilleurs whiskys. Quant au chef de l’État et à la mafia des généraux, ils demeurent intouchables et infaillibles. Personne n’ose les tenir pour responsables ni les interroger en Algérie. Ils se placent au-dessus des lois et des êtres humains. Leurs ordres sont exécutés sans la moindre discussion, et ceux qui osent s’opposer à leurs décisions sont impitoyablement condamnés à mort, tandis que leurs familles subissent des représailles, pour servir d’avertissement au reste du peuple misérable.