Le scandale retentissant révélé par l’opposant Amir DZ a éclaboussé le paysage, révélant au grand jour les sombres méandres des réseaux de prostitution algériens qui sévissent dans le Golfe, avec une mise en lumière particulière sur le sinistre dossier du réseau émirati. Les détails sont à glacer le sang : de jeunes filles et garçons algériens, triés sur le volet pour leur beauté, sont jetés dans l’abîme de la prostitution et de l’homosexualité, sous la bienveillance des généraux. Plus de 50 000 jeunes filles algériennes, âgées de 15 à 25 ans, seraient contraintes de se prostituer aux Émirats, sous l’emprise de trafiquants sans scrupules qui vendent la chair de leurs compatriotes au plus offrant. Les prédateurs sans pitié ont dû revoir leurs plans machiavéliques pour étendre leur empire de la débauche sexuelle vers des pays où ils peuvent partager leurs sinistres richesses avec les généraux et leurs acolytes.
Tandis que notre pays, tel un gardien jaloux, impose des visas aux autres nations arabes, feignant un amour et une amitié fraternelle (car nos frères arabes n’ont nul besoin de nous rendre visite, puisque nous leur envoyons, avec un million et demi de baisers, toutes les délices de la corruption et du plaisir). Paradoxalement, nous ouvrons grand nos bras à nos alliés communistes, sans visas ni entraves, engendrant ainsi une progéniture illégitime aux yeux bridés, descendant d’Afrique noire ou de blonds Balkans. Ce n’est pas moi qui le prétends, mais les discours officiels diffusés à la télévision et les paroles du Cheikh de la République, Cheikh Chems Eddine el Djazairi, gravées dans le marbre de YouTube. Cette politique n’est guère surprenante de la part des héritiers de l’émigrant. Pour prospérer dans leur commerce abject de la prostitution, la compagnie aérienne nationale algérienne a pris la décision ignoble de promouvoir le tourisme médical (sexuel) en Algérie. Elle a convié des professionnels de la santé et du tourisme, originaires d’Afrique et du Golfe, à séjourner une semaine dans notre pays. Durant leur visite, cette délégation aura le plaisir de visiter de multiples établissements de soins prodiguant des traitements humiliants de dressage et de massage médical, ainsi que des centres de bien-être, de luxe et de soins corporels, supervisés par des infirmières locales d’une expertise redoutable, expertes en offrandes de confort, de détente et de plaisirs aux visiteurs, grâce à l’utilisation de méthodes médicales naturelles et d’équipements spécialisés. Oui, vous avez bien compris… l’Algérie, qui a vu défiler des files d’attente de dentistes cherchant à se procurer des narcotiques médicaux pour leurs patients, tente désormais d’impliquer les étrangers dans son expérience « réussie » dans le domaine médical. Le tableau est à la fois épouvantable et révoltant.