Il y a quelques semaines, avec audace et impudence, le despote et l’excentrique Tebboune prétendait que l’Algérie est le berceau des démocraties européennes. Il prétendait que les révolutions espagnole et grecque ont été lancées depuis l’Algérie, exprimant ainsi son refus de qualifier l’Algérie de régime totalitaire et dictatorial. Jusqu’à ce jour, la Cour criminelle d’Alger a condamné par contumace les vaillants militants Mohamed Larbi Zitout et Amir Boukhors, alias « Amir Dz », à une peine de 20 ans de prison, de manière injuste et agressive, tout en soutenant l’émission d’un mandat d’arrêt international à leur encontre, malgré son annulation par la Cour suprême internationale. Ils sont poursuivis aux côtés d’autres militants pour diverses accusations, notamment la menace à la sécurité du gang et le fait de recevoir de l’argent de l’étranger pour mener des activités portant atteinte à la sécurité de l’État et de ses institutions, conformément à un plan préétabli. Cependant, les opposants à l’étranger travaillent individuellement, n’ayant pour seule arme que leurs modestes caméras, avec lesquelles ils réalisent des vidéos exposant le régime fasciste de ses pères.
De plus, les militants héroïques Ismaïl Zitout et Miloud Zitout ont été condamnés à tort et à calomnie à une autre peine de prison ferme de 20 ans, tandis que leur frère Abderrahmane Zitout a été condamné en personne à deux ans de prison ferme, sans avoir commis d’autre crime que de porter le nom Zitout et d’être le frère du militant Mohamed Zitout. Dans la même affaire, le même tribunal a condamné l’autre militant, Bouazza Marrakechi, à une peine de 10 ans de prison ferme, de manière injuste et agressive. De même, le militant Benhalima Mohamed Azouz a été condamné à une peine de 7 ans de prison ferme, sans avoir commis aucun crime autre que de dire non à l’injustice, non à l’oppression, non au règne des généraux. Les peines infligées aux autres accusés dans cette affaire d’injustice et de tyrannie varient entre deux et trois ans de prison ferme. Les militants libres ont été poursuivis dans cette affaire pour diverses accusations fabriquées et falsifiées, notamment l’adhésion et la participation à des associations et organisations dont le but ou les activités sont qualifiées de terroristes et destructrices, portant atteinte à l’intégrité et à l’unité de la nation, diffusant délibérément de fausses informations et incitant à la manifestation, ainsi que l’accusation d’outrage à une institution officielle et de recevoir de l’argent de l’étranger pour mener des activités portant atteinte à la sécurité de l’État et de ses institutions, conformément à un plan préétabli. En réalité, toutes ces accusations sont infondées et fabriquées. Les militants libres agissent par souci de leur patrie et du peuple opprimé. Comment pourraient-ils recevoir de l’argent de l’étranger alors qu’ils se trouvent déjà à l’étranger ? Où est donc ce groupe terroriste qu’ils financent ? Le seul groupe terroriste présent en Algérie est le groupe des généraux qui ont pillé le pays et emmené avec eux le peuple misérable sur un chemin qui mènera l’Algérie en enfer…