Des rapports confidentiels ont révélé des allégations de torture au sein des prisons en Algérie, attribuées à des agents des services de renseignement à l’encontre de citoyens algériens. Ces allégations font état d’actes choquants, notamment des pratiques homosexuelles forcées entre détenus d’opinion, leur enregistrement vidéo, ainsi que des actes de torture infligés à leurs organes génitaux.
Selon ces rapports confidentiels, 15 officiers des services de renseignement militaires ont été récemment dépêchés vers une prison secrète située dans le sud de l’Algérie. Leur arrivée s’est déroulée dans la discrétion, leurs visages dissimulés. Une fois sur place, ils ont ordonné aux détenus de se ranger en file droite, de se dévêtir et de se coucher au sol. Les officiers ont procédé à des fouilles anales de chaque prisonnier, prétendument à la recherche de téléphones portables interdits introduits clandestinement en prison. Ces actes ont provoqué des cris et des larmes parmi les détenus. Ceux qui ont tenté de résister ont été menacés d’attaques de chiens et ont subi des violences brutales, entraînant des blessures sanglantes.
Des centaines de prisonniers politiques en Algérie sont susceptibles d’être exposés à des abus sexuels similaires dans l’ensemble des établissements pénitentiaires contrôlés par les services de renseignement militaires. Malgré des rapports documentés et des alertes émanant d’opposants algériens et d’organisations de défense des droits de l’homme, l’Occident maintient le silence en raison de sa dépendance vis-à-vis du gaz algérien.
Des témoignages oculaires mettent en lumière les diverses méthodes de torture et d’humiliation sexuelle utilisées par les gardiens sous la supervision des agents des services de renseignement. Certaines victimes auraient été violées, tandis que d’autres ont été filmées lors d’agressions et ont subi des décharges électriques au niveau de leurs organes génitaux. Des actes particulièrement odieux incluent la suspension de pierres aux testicules de certains détenus avant qu’ils ne soient violés à l’aide de poutres en bois ou en métal.
Un ancien prisonnier du régime des généraux a déclaré : « Ils vous déshabillent, puis vous attachent à un poteau en acier des deux côtés, vous exposant entièrement à leur regard. Ensuite, ils commencent à commettre des actes de violence sexuelle. Ils m’ont torturé sans m’accuser de quoi que ce soit. Parfois, je souhaite qu’ils m’accusent de quelque chose pour mettre fin à cette souffrance. Le pire, c’est que par moments, je souhaite mourir chaque jour, mais je n’arrive pas à y parvenir. Oui, les prisonniers algériens désirent la mort, dans le silence assourdissant de l’Occident démocratique ».