Le tumulte persiste au sein du régime des généraux, suscitant une réprobation croissante de la part de la communauté internationale et de l’opinion publique. Ce scandale embrase l’Algérie et révèle les agissements de cette bande d’individus hypocrites. Leurs ordres et directives trouvent écho dans le monde médiatique à leur solde, amplifiant leur influence, particulièrement au cours du conflit en cours en Palestine.
Au milieu de ces circonstances, des milliers d’innocents citoyens palestiniens ont été les victimes désarmées de cette guerre impitoyable, sans avoir jamais commis la moindre faute. Le silence assourdissant de la plupart des nations du monde résonne comme un écho de neutralité, tandis que d’autres prennent ouvertement position en faveur d’Israël.
C’est dans ce contexte que le président Tebboune, dont le rôle de « héros » est désormais discrédité, a expédié des fournitures essentielles à Gaza. Les avions algériens étaient lourdement chargés de denrées, parmi lesquelles des boissons gazeuses, du savon, et même des linceuls. Cet envoi de secours, digne d’une bande de malfaiteurs, rappelle des actions similaires en direction de pays tels que le Liban, la Syrie, la Turquie, et la Libye. Aujourd’hui, la Palestine dévastée est à son tour destinataire de notre prétendue générosité.
Pourtant, chez nous, la situation alimentaire est dramatique. Les citoyens se contentent de maigres restes provenant de la table des généraux, tandis que l’eau potable se fait rare, obligeant certains à boire des eaux usées.
Bien que nous exprimions sporadiquement notre soutien à la Palestine par des gestes de solidarité, la réalité est implacable : nous demeurons un État en déliquescence, dépourvu de poids politique et de valeur internationale. Cette réalité a été douloureusement mise en lumière par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui a catégoriquement rejeté la demande d’adhésion de l’Algérie au sein du BRICS. Il a souligné que les critères d’adhésion comprenaient le rayonnement international de l’État en question, un critère qui fait manifestement défaut à l’Algérie. Cette déclaration a été corroborée par le président Macron, lors de sa visite récente en Israël, où il a limité notre expression de solidarité avec Gaza à dix jours après le début des hostilités, mettant en exergue notre insignifiance sur la scène mondiale.