Alors que le citoyen algérien vit dans une souffrance sans fin, victime de la coercition, de la pauvreté et du chômage, à la recherche de nourriture ou de médicaments. Les Algériens n’ont plus qu’à attendre leur mort aujourd’hui. Une punition. Mais quel est le crime ?
Le plus frappant, c’est que dans cette catastrophe, il y a un président arriéré Tebboune, qui nous a annoncé dernièrement dans une interview aux journaux jaunes, qu’il était très soucieux de sécuriser l’équipe nationale ? ??
Notre président surnaturel, Tebboune, a-t-il résolu tous les problèmes du pays et rempli toutes ces obligations envers les citoyens pour faire du football une priorité ?
Immédiatement après l’interview du président Tebboune, l’information s’est répandue dans tous les cafés algériens, que le président Tebboune avait ordonné à l’armée de l’air d’assurer la sécurité de les verts au Qatar avec des avions Sukhoi, afin de parer à toute agression israélienne attendue contre l’équipe nationale???
Pour l’amour de Dieu, les Algériens sont-ils assez naïfs pour croire à de telles superstitions et mythes. Mais la faute n’en est pas du peuple, mais elle est de la presse jaune, qui a joué un rôle important dans l’installation des idées attardés aux citoyens. C’est l’arme préférée des généraux pour détourner la balle hors de la crise politique et économique du pays.
La presse d’une telle immoralité (ENnahar, ElHayah, ElKhabar, El-Chorouk et El-Bilad) contrôlée par la tyrannie et les prêtres de la corruption consiste à mettre en œuvre des programmes corrompus tyranniques et d’abus pour que tous les rêves et les attentes du peuple algérien chevauchent de manière destructrice alors que la corruption devient l’un de ses piliers structurels.
Le journaliste en Algérie est devenu un loup obéissant qui écrit avec le plus bas de ses standards moraux afin de faire de la propagande pour les généraux et leur mafia, qui se trouvent dans toutes les régions du pays.
Est-il possible pour un journaliste raisonnable de s’asseoir avec un chef d’Etat et de mettre de côté toutes les crises du pays et d’interroger le président sur des sujets triviaux qui n’ont rien à voir avec les problèmes du peuple algérien ?
