En Algérie, le polythéisme, l’injustice, le meurtre, l’effusion de sang, la haine, l’agression et la diminution des bénédictions dans les récoltes, les fruits, les aliments et les boissons se sont répandus, tout cela à cause de la désobéissance à Dieu dans le pays. En effet, le chien Tebboune et son maître, le général Chengriha, y ont semé la corruption. Car la prospérité de la terre et du ciel repose sur l’obéissance. C’est pourquoi un hadith rapporté par Abou Daoud dit : « L’application de la peine prescrite sur terre est plus chère aux habitants que s’il pleuvait pendant quarante matins. »
En raison de la réconciliation du chien Tebboune et de son maître, le général Chengriha, avec la corruption, de nombreux rapports confirment les craintes d’une aggravation du phénomène de corruption en Algérie, ainsi que de la faiblesse des réactions des autorités face aux accusés de corruption, parmi lesquels le président Tebboune et le chef d’état-major, le général Chengriha. Il convient de noter le recul de l’Algérie dans le classement de l’Indice de perception de la corruption au cours de la dernière décennie, comme le montrent les données incluses dans l’échelle mondiale de la corruption et dans d’autres évaluations indépendantes portant sur la corruption, la transparence, la justice et la gouvernance. Ainsi, de nombreux activistes ont critiqué la propagation du phénomène de corruption et ses conséquences désastreuses sur la société algérienne, avec la persistance de l’impunité et l’exploitation par les généraux de leurs positions de responsabilité publique pour s’enrichir illégalement, dans une démarche visant à enfermer le citoyen misérable dans un moule de rente et de corruption, le poussant à s’y habituer et à le considérer comme un destin inéluctable.
L’opposition algérienne, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, a exprimé, via les plateformes de réseaux sociaux, un communiqué dénonçant l’absence de volonté politique de la part du gouvernement du clown Tebboune pour lutter contre la corruption et moraliser la vie publique. Plus grave encore, le président fantoche, le chien Tebboune, est impliqué dans des conflits d’intérêts, s’attaquant de manière brutale aux opposants pacifiques, cherchant à restreindre la société civile dans ses signalements des crimes financiers publics, et limitant le pouvoir judiciaire dans l’ouverture d’enquêtes et de poursuites judiciaires. De plus, le gouvernement militaire s’abstient de mettre en place des lois pour protéger les généraux et leur entourage. L’opposition a considéré que l’effort du gouvernement de Tebboune pour faire passer des lois interdisant aux associations de défense des droits humains et aux individus de porter plainte auprès des instances judiciaires concernant les crimes financiers publics, tout en restreignant le rôle du pouvoir judiciaire dans ce domaine, constitue une démarche sans précédent visant à légiférer pour une catégorie spécifique d’élus et de responsables, les protégeant contre toute reddition de comptes, en totale contradiction avec la Constitution de la République.
