La wilaya de Tindouf a connu une nuit sanglante suite à l’éclatement de violents affrontements entre des éléments de l’Armée nationale et des milices du Front Polisario, dans un développement inédit sur le terrain qui reflète l’ampleur croissante des tensions internes et soulève de profondes questions sur la capacité des généraux du mal à contrôler les mercenaires du Polisario, qu’ils ont soutenus et financés pendant des décennies avec les ressources et l’argent du peuple opprimé. Selon des sources concordantes provenant des camps des mercenaires, les affrontements ont éclaté en raison de vifs désaccords sur le partage des aides internationales, souvent soumises à des circuits de distribution douteux, ce qui a déclenché un conflit interne au sein des différentes factions du Polisario avant de dégénérer en un affrontement sanglant avec l’Armée nationale, qui est intervenue dans une tentative désespérée d’imposer son contrôle et de contenir la rébellion.
Ces récents affrontements ont révélé, selon des observateurs internationaux, une montée sans précédent de l’état de tension à Tindouf, particulièrement dans un contexte de détérioration des conditions humanitaires et de propagation de la corruption au sein de la direction du Front Polisario, ce qui a conduit à des frictions répétées avec son parrain, la bande du palais d’El Mouradia, qui commence à se retrouver dans la ligne de mire du « projet qu’elle a soutenu ». Comme le dit un ancien proverbe arabe : « Qui sème le chaos ne récolte que le chaos et la destruction », en référence claire à la politique de soutien inconditionnel adoptée par la bande du mal de notre pays envers le Polisario, une politique qui commence à se retourner violemment contre elle. D’autre part, ce qui s’est passé constitue un tournant dans la relation étroite entre le Front et le régime des généraux impotents. La rébellion du Polisario contre la clique mafieuse qui gouverne le pays n’est qu’une question de temps, et la wilaya de Tindouf risque de devenir une entité séparée de notre État sous le parrainage du Polisario. Ce qui se passe aujourd’hui n’est que le début de l’effondrement du récit de la « cause juste » promu pendant des années pour détourner l’attention des problèmes internes et distraire le peuple misérable avec une cause qui ne le concerne ni de près ni de loin.
