Quand est-ce que le général Gaid salah sera convaincu que les arrestations, la violence, la torture verbale et physique ainsi que la répression vont aggraver la situation dans le pays et augmenteront plus les tensions déjà très tendus. Et qu’il n’y a pas d’autre choix que la démission de Gaid Salah et le transfert du pouvoir au peuple à travers le dialogue.
En effet la répression d’expression et des libertés en l’Algérie exercé par Gaid Salah vont surement faire exploser le pays et les violences vont augmenter.
Car dans le lexique algérien, il n’aura plus qu’à vivre dans la dignité ou la résistance au dictateur qui détient le pouvoir en Algérie. En outre, le peuple algérien a le droit de vivre dans la dignité, de respirer la liberté et de se sacrifier pour cette cause noble et légitime. Par conséquent, il est du devoir des érudits et des héritiers des prophètes de demander instamment de soutenir les faibles au lieu de docilité et la soumission au gros tyran Gaid salah.
Par ailleurs, l’effondrement de la démocratie que connait notre pays au niveau politique et l’alignement contre le peuple, des partis politiques avec l’établissement militaire, le sponsor officiel de la bande qui vole le pays, et le déclin du rôle du peuple au pouvoir va pousser le cycle du conflit pour atteindre son ampleur et va également alimenter une révolte populaire non seulement dans la rue mais au sein même de l’armée parce que la liberté a une place de choix pour chaque Algérien.
Les algériens sont sortis pour exiger la démocratie et le travail ainsi que la construction des hôpitaux et universités qui sont un droit légitime. Il s’agit plutôt de demandes ordinaires s’inscrivant dans le cadre de la lutte contre les inégalités et du rapprochement des infrastructures de base des citoyens dans chaque recoin de la patrie.
Cependant, lorsque le dialogue était absent et que la population avait perdu confiance dans les partis politiques et dans l’armée, il y avait une escalade et une violence injustifiée de la part de la police.
Le déclin des libertés, des droits de l’homme et la répression durant la décennie noire et l’époque coloniale se répète à nouveau contre les marches pacifiques qui exige des revendications sociales, a été rencontré par une violence excessive et des arrestations incompréhensibles uniquement pour satisfaire le pharaon de l’Algérie, Gaid Salah.