Ce que notre pays sinistré exporte le plus ouvertement, sous les yeux du monde entier, ce sont le gaz, le pétrole et les pattes de poulet. Quant aux compétences humaines exportées à l’étranger, nous possédons, sans aucune fierté, les prostituées les moins chères et les homosexuels les plus répandus au monde. Nos services de renseignement militaire, si respectés, disposent même d’une section et de départements entiers spécialisés dans l’exportation de prostituées et d’homosexuels à des fins politiques, militaires et économiques. De plus, la mafia au pouvoir exporte nos problèmes internes vers notre environnement régional extérieur, dans le but de créer des ennemis fictifs, de détourner l’attention du citoyen misérable vers ces ennemis, lui permettant ainsi d’exprimer sa frustration refoulée à leur encontre. Tout cela vise à occulter la terrifiante vérité sur le peuple floué, qui vit désormais ses jours et ses nuits les plus sombres, entre la pénurie d’eau et de nourriture, l’inflation du coût de la vie, au point que l’honneur en Algérie est devenu la marchandise la moins chère et la plus consommée… En outre, la mafia a commencé à exporter des maladies graves comme le sida et la malaria vers les pays voisins, en particulier la Mauritanie, qui a échappé au contrôle de cette mafia du mal…
Il semble que l’épidémie de malaria, qui ravage le sud du pays depuis des semaines, ait été exportée récemment vers la Mauritanie sœur par la mafia des généraux, comme une forme de punition pour la sortie de la Mauritanie du giron de cette mafia et de son contrôle.
En effet, la Mauritanie a enregistré ces derniers jours une augmentation alarmante des cas de malaria, avec une hausse de 400 % qui a suscité l’inquiétude des autorités sanitaires locales et soulevé des questions sur les causes probables de cette situation effrayante. Le ministère de la Santé mauritanien a déclaré avoir constaté une augmentation des cas de malaria dans plusieurs wilayas de l’est du pays depuis la fin du mois de mai dernier, précisant que cette hausse atteint 400 %. Des citoyens mauritaniens ont exigé, via les réseaux sociaux, une intervention urgente des autorités gouvernementales pour contenir la maladie. Certains ont évoqué une pénurie de médicaments de prévention et de traitement de la malaria dans plusieurs régions, y compris la capitale Nouakchott, appelant à une surveillance des frontières avec l’Algérie, à l’interdiction d’importer toute marchandise provenant de chez nous et à l’imposition d’un couvre-feu pour nos citoyens…
