Concurrence de transgenres et mineures, une mère célibataire tue ses 3 filles par peur de la pauvreté dans la nouvelle Algérie

Dans un crime atroce qui a secoué la population locale, une mère célibataire exerçant la prostitution avec des visiteurs et des étrangers a tué ses trois filles par strangulation avant de se rendre volontairement aux forces de l’ordre. Les services de sécurité de la wilaya d’Oran ont reçu un signalement concernant la découverte des corps de trois enfants dans un appartement situé dans un quartier résidentiel huppé. Le parquet s’est immédiatement rendu sur les lieux pour entamer les investigations. Les constatations ont révélé que les enfants ont été victimes de strangulation, avec des marques évidentes autour de leur cou, sans autres blessures apparentes relevées lors des premières enquêtes. Lors de son interrogatoire initial, la mère a avoué avoir commis le crime, déclarant qu’elle avait perdu tout espoir de subvenir aux besoins de ses enfants en raison des pressions économiques, notamment pour leur fournir une nourriture décente et des vêtements, même usagés.
La mère célibataire a ajouté que la concurrence féroce dans le secteur de la prostitution en Algérie, marquée par l’implication croissante de jeunes filles et de personnes transgenres dans le tourisme sexuel, proposant des tarifs plus bas sur le marché du sexe et monopolisant les clients, y compris les visiteurs étrangers, l’a confrontée à une compétition acharnée. Âgée de plus de trente ans, elle faisait face à la concurrence de mineures, de personnes transgenres et même d’enfants dans le domaine de la prostitution, un secteur qui génère des revenus financiers considérables pour l’État grâce aux activités des prostituées et des transgenres. Cela a conduit la mère célibataire à se sentir impuissante et en échec en tant que seule responsable de ses enfants, dont la paternité est inconnue et dont les teints de peau varient du noir au jaune et au rouge, reflétant la diversité des visiteurs et étrangers venant dans le pays pour le tourisme sexuel et la recherche de drogues bon marché. Elle a affirmé que ces pressions psychologiques, la concurrence impitoyable pour les clients et la diminution de ses revenus l’ont poussée à prendre cette décision tragique dans un moment d’effondrement. Elle a envisagé d’impliquer ses enfants dans la prostitution, mais leur âge légal ne le permettait pas, ce qui aurait pu l’exposer à des poursuites judiciaires.