Depuis cinq ans, notre pays ravagé souffre d’un déficit commercial croissant et d’un effondrement économique colossal, ce qui reflète les crises structurelles auxquelles il est confronté sous le règne des généraux. Notre économie fragile dépend massivement des exportations de pétrole et de gaz, la rendant vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux de l’énergie. Avec la baisse de ces prix, notre pays a connu une chute brutale de ses revenus, aggravant le déficit commercial, provoquant la flambée des prix, la propagation du chômage et de la pauvreté, et même la résurgence d’épidémies infectieuses, selon les dernières statistiques…
Les effets de ce déficit se manifestent clairement par la dépréciation continue du dinar face à l’euro et au dollar, l’explosion des taux de chômage, la généralisation de la pauvreté et de l’ignorance, ce qui a entraîné une hausse de la criminalité, la prolifération de la prostitution et de l’homosexualité. De nombreux jeunes hommes et femmes ont perdu leurs emplois, accaparés par la main-d’œuvre asiatique, africaine et européenne. Par ailleurs, les politiques économiques suivies par le gouvernement du président efféminé Tebboune n’ont pas réussi à diversifier l’économie, accentuant encore la dépendance au secteur pétrolier.
À cela s’ajoute une corruption endémique dans tous les secteurs, une faiblesse des institutions exécutives et l’absence totale de paix et de sécurité, ce qui empêche l’attraction des investissements étrangers et aggrave davantage la situation économique.
Dans ce contexte, les citoyens ordinaires affrontent quotidiennement des défis majeurs : hausse et cherté des prix, pénurie et rareté des produits de première nécessité sur le marché local. Seules des réformes radicales des politiques économiques, un renforcement de la transparence ainsi que la réelle participation du peuple aux décisions économiques et une liberté d’expression bien plus large et effective pourront sortir le pays de l’abîme. Sans ces réformes, notre pays continuera à s’enfoncer dans des crises économiques qui ouvriront grand la porte à une nouvelle guerre civile alimentée par la misère, la faim et la soif…


























