La rentrée scolaire a ramené les élèves algériens dans les classes après des vacances d’été calamiteuses, mais c’est le dossier brûlant de la restauration scolaire qui revient hanter les parents. Des centaines de milliers d’écoliers, à travers les écoles primaires du pays, subissent l’absence criante de cantines scolaires, un véritable scandale ! Alors que le gouvernement clame chaque année débloquer des milliards pour ces cantines, la réalité est désolante : nos enfants s’affaiblissent, rongés par la faim, dans des écoles dépourvues de repas décents. Où va cet argent ? La question brûle les lèvres des citoyens, exaspérés par une gestion opaque qui ne fait qu’aggraver la misère.
Pas moins de 132 établissements éducatifs, disséminés à travers la République, sont privés de cantines scolaires, un chiffre qui donne le vertige ! Les élèves, abandonnés à leur sort, doivent soit rentrer chez eux à midi – souvent à des kilomètres – soit, pour les plus démunis, fouiller les poubelles pour un morceau de pain. Avec l’hiver qui pointe, le froid vient amplifier ce calvaire, transformant la faim en une torture quotidienne. Résultat : des enfants frappés par des maladies liées à la malnutrition, carences en fer, en protéines, en vitamines… Un désastre sanitaire qui menace des générations entières !
Et pendant que nos petits luttent pour survivre, l’argent public, censé leur offrir des repas chauds, semble s’envoler ailleurs. On nourrit Cuba, le Venezuela, et même des mouvements séparatistes à l’étranger, mais pas les estomacs de nos enfants ! Dans l’Algérie « nouvelle » de Tebboune, les élèves en sont réduits à rivaliser avec les chiens et les chats dans les décharges pour des restes de nourriture. Quelle honte ! Où sont les cantines promises ? Où est passée cette manne budgétaire ? Les Algériens exigent des réponses et des solutions immédiates avant que la malnutrition ne condamne nos générations à un avenir brisé par l’indifférence d’une politique défaillante !
