Ce lundi 29 décembre 2025, à la résidence privée de Mar-a-Lago en Floride, Benjamin Netanyahu va débarquer avec un dossier ultra-sensible sous le bras : des preuves accablantes que l’Iran reconstitue à vitesse grand V son arsenal de missiles balistiques, considéré par Israël comme une menace existentielle bien plus urgente que le programme nucléaire déjà « oblitéré » par les frappes conjointes de juin dernier.
Selon des sources américaines et israéliennes de haut niveau, le Premier ministre israélien, recherché par la CPI et sous pression interne pour détourner l’attention de Gaza, va présenter à Donald Trump un menu d’options militaires explosives : une attaque israélienne solitaire, un soutien américain limité, ou même une opération conjointe dévastatrice contre les sites de production de missiles iraniens !
Mais attention, les tensions sont palpables ! Trump, qui clame avoir « détruit » le programme nucléaire iranien et privilégie la diplomatie pour un nouvel accord, risque de résister. Son entourage accuse Netanyahu de freiner le plan de paix à Gaza pour détourner l’attention vers l’Iran – un dossier que « Bibi » adore pour mobiliser son opinion publique. À Gaza précisément, l’autre grand sujet : Netanyahu refuse la phase 2 du plan Trump (démilitarisation du Hamas, gouvernement technocratique palestinien, force internationale de stabilisation) tant que le Hamas n’aura pas rendu toutes ses armes et les restes du dernier otage, Ran Gvili.
De son côté, l’Iran multiplie les exercices militaires et promet une « réponse décisive » à toute agression. Des interceptions récentes de cargaisons chinoises destinées à Téhéran confirment les craintes : le régime des mollahs rebuild son arsenal pour protéger une éventuelle relance nucléaire.
Sous pression interne en Israël (manifestations, critiques sur Gaza), Netanyahu joue gros : détourner le focus sur l’Iran pour consolider son pouvoir, tout en obtenant le soutien américain indispensable. Trump, lui, veut des annonces majeures sur Gaza dès janvier (Conseil de paix, force de stabilisation), et évite une nouvelle guerre régionale qui contrarierait sa base isolationniste.


























