À cause de la politique désastreuse de la clique des généraux et de leur chef, l’illuminé Chengriha, cet hurluberlu aux idées tordues, l’Algérie s’enfonce dans un bourbier d’identité perdue et d’histoire trafiquée. Cette bande s’acharne à réécrire le passé en pillant sans vergogne l’histoire, le patrimoine et les traditions des voisins, tout en brandissant le mythe grotesque du « nif algérien » et une dignité de pacotille héritée du défunt Boumediene. Leur obsession pour la cause perdue du Sahara occidental mène tout droit à la ruine et à la désolation de l’Algérie. Résultat ? On s’aliène le monde entier, amis comme ennemis, proches comme lointains. Même les privilèges chèrement acquis auprès des voisins et de « maman France » ont été dilapidés par l’arrogance bornée de ces généraux séniles. Le peuple, lui, étouffe : rationné dans son pain, son eau, sa vie même ! L’Algérie, jadis fière, est désormais le pays des files d’attente interminables, de la débauche et de l’homosexualité érigée en étendard, selon les mauvaises langues.
Et que dire des avantages dont jouissaient nos pauvres émigrés en France ? Évaporés, balayés par l’entêtement stupide de ces vieillards galonnés qui croient pouvoir tordre le bras de Paris sur la question du Sahara occidental. La France, excédée, a riposté. Un rapport parlementaire, signé par les députés Mathieu Lefèvre, fraîchement nommé ministre délégué à la transition écologique, et Charles Rodwell, tire à boulets rouges sur la convention franco-algérienne de 1968. Ce texte, qui garantissait à nos émigrés des droits en matière de circulation, de séjour, de travail et de protection sociale, est désormais dans le collimateur. Pourquoi ? Parce qu’il « viole l’égalité, fragilise notre système juridique et plombe les finances publiques françaises avec des coûts faramineux », clament les rapporteurs. Deux milliards d’euros, rien que ça, pour gérer les données administratives et les aides sociales ! Un chiffre approximatif, avouent-ils, faute de données fiables – ou plutôt parce qu’on ne les conserve même pas. Cette convention ? Une farce, un « accord » bidon, unilatéral, sans la moindre réciprocité de la part de l’Algérie, accuse le rapport. Et d’enfoncer le clou : il faut l’abroger, point final, face à l’intransigeance d’un régime algérien qui a oublié son histoire, aussi courte soit-elle.
