Le président tunisien kais Saied a déclaré qu’il était ouvert au dialogue mais a indiqué qu’il n’établirait pas de pourparlers avec les personnes soupçonnées de détournement de fonds.
Saied a qualifié la situation de « très dangereuse », déclarant : « Je ne permettrai à personne de frapper l’État et ses institutions », ajoutant qu’« il ne faut pas se cacher derrière les mesures pour ne pas lever l’immunité du peuple représentants. »
et a déclaré qu’il travaillerait à la mise en œuvre de la constitution, accusant ce qu’il a décrit comme des « lobbyistes » travaillant dans l’ombre en leur faveur et fabriquant des crises pour rester en Puissance.
Said a ajouté : « Je sais qui bouge la rue et qui crée des crises pour rester au pouvoir, et savoir que la Tunisie n’est pas une marchandise, et que les lois doivent être appliquées à tout le monde ».
Il a exprimé son profond mécontentement et sa ferme condamnation de ce qui se passe ces jours-ci en Tunisie, soulignant que « personne n’est au-dessus des lois et qu’il n’y a de place pour aucun traitement basé sur la discrimination fondée sur la richesse ou les alliances politiques ».
Le président Saied a souligné la nécessité d’adresser les demandes de levée de l’immunité au Parlement afin que chacun assume sa responsabilité