La Juventus Turin, championne de records de football italien, a raté un grand pas vers le 36e Scudetto. Lors de la 31e journée, l’équipe autour de la superstar Cristiano Ronaldo a perdu 4-2 à l’AC Milan malgré une avance de 2-0.
Le «Calcio» a vécu un mardi effrayé. Au premier tour, la défaite de la Lazio semblait laisser le titre à la Juventus sur un plateau, mais la tourmente turinoise à Milan, où ils ont perdu 4-2 après avoir gagné par deux buts, laisse le combat pour le titre ouvert.
Cependant, la Juventus conserve 7 points d’avance sur la Lazio, avec 21 à jouer.
Le neuvième titre consécutif de la Juventus semblait voué à l’échec en battant l’AC Milan 2-0, avec des buts du Français Adrien Rabiot (47’) et du Portugal Cristiano Ronaldo (53).
Mais en seulement six minutes, Milan a transformé le match grâce à des buts de l’attaquant suédois ZlatanI brahimovic (62’), Franck Kessie (66’) et Rafael Leao (67’). L’ex-Francfortois Ante Rebic (80’) a mis fin à une seconde période extrêmement solide.
Maintenant, il reste à voir comment la Juventus réagit à cette défaite lors de la 32e journée, au cours de laquelle elle recevra Atalanta (4e), l’équipe la plus en forme du championnat, et comment fait également une Lazio qui, après son match, a renoncé au titre et qui est maintenant encore avec des possibilités.
Le prochain rival des Romains, également samedi, est le Sassuolo, a priori plus abordable que l’Atalanta.
Mais ces dernières semaines, l’équipe dirigée par Simone Inzaghi avait montré qu’elle ne maintenait pas le niveau affiché avant l’arrêt du championnat italien en raison de la nouvelle pandémie de coronavirus et qu’elle a subi mardi la troisième défaite en cinq matchs depuis la reprise de la série A Fin juin.
La Lazio a pris les devants dès le début du match, par l’intermédiaire de l’Équatorien Felipe Caicedo (5), mais Lecce, qui a raté un penalty avant la pause, est revenu avec des buts du Sénégalais Khouma Babacar (30) et du vétéran Fabio Lucioni (47).
L’équipe romaine a terminé en infériorité suite à l’expulsion de l’espagnol Patricio Gabarrón «Patric», pour avoir mordu son adversaire au bras.