Partout en Afrique, là où l’on trouve des massacres d’innocents, des enfants assassinés, des citoyens opprimés, torturés, des habitations et des êtres humains brûlés, plane l’ombre des généraux corrompus, qualifiés de « cancer de l’Afrique » et d’« pieuvre du mal ». Leurs mains, souillées du sang des innocents, s’étendent jusqu’aux foyers de violence et de chaos, là où prospèrent les groupes terroristes et les mouvements séparatistes, dans les pays africains proches comme lointains.
Le régime militaire algérien, selon ces accusations, aurait été le dernier rempart du régime sanguinaire de Bachar al-Assad, qualifié de « boucher » et d’« agresseur d’enfants ». Plus de 10 000 soldats et mercenaires auraient été envoyés en Syrie pour soutenir ce régime accusé de massacrer son propre peuple. Pire encore, le régime birman, responsable du meurtre et de l’exode de milliers de musulmans, aurait bénéficié du carburant algérien pour bombarder ses victimes, tandis que l’armée birmane aurait été financée par les ressources détournées des citoyens algériens démunis.
Dans les pays voisins, le tableau est tout aussi sombre. Le régime des généraux est accusé de financer les mouvements séparatistes au Mali en leur fournissant armes, équipements et entraînements militaires, déstabilisant ainsi ce pays limitrophe. Il est également pointé du doigt pour son soutien financier et logistique aux groupes terroristes opérant au Niger, au Burkina Faso, et particulièrement au Maroc, qui subirait de plein fouet la « trahison » de cette « mafia militaire ». Même la Tunisie, « petite sœur » de l’Algérie, n’a pas été épargnée. Au plus fort de la révolte populaire contre le dictateur Kaïs Saïed, alors que le peuple tunisien s’unissait pour renverser son régime autoritaire, le régime algérien aurait déployé 7 000 soldats réguliers et 5 000 mercenaires du Front Polisario pour protéger leur « frère criminel », Kaïs Saïed. Ce dernier, devenu le « nouveau dictateur » de Tunis, aurait reçu toute forme de soutien pour servir les intérêts politiques des généraux, semant la discorde et le chaos dans la région.
L’agenda des généraux, désormais connu de tous, serait de provoquer des guerres et des destructions entre les nations et les peuples, afin de maintenir leur domination régionale. Leur objectif : placer l’Afrique sous l’emprise des groupes terroristes et des mouvements séparatistes, où leur commerce prospère grâce à l’oppression des peuples, l’étouffement des révolutions dans l’œuf, et l’exploitation des richesses naturelles du continent, notamment ses minerais précieux.