Alors que la plupart des fils des généraux profitent des vacances estivales sur les côtes européennes, notamment à Nice en France et à Ibiza en Espagne, plusieurs wilayas de notre pays martyrisé ont été le théâtre cette semaine de vastes manifestations réclamant l’accès à l’eau potable. Les manifestants ont scandé des slogans exprimant leur rejet de la situation désastreuse qu’ils vivent quotidiennement, face à l’absence de réponse du gouvernement du chien Tebboune à leurs revendications. Selon nos sources, les protestations ont touché de vastes régions dans la capitale, à Oran et à Batna, où les habitants souffrent de l’absence d’eau potable, de longues coupures sans préavis et de l’assèchement des puits. Les rassemblements ont vu s’élever des voix contre la politique d’indifférence du gouvernement, les citoyens soulignant que la persistance des coupures d’eau aggrave leurs souffrances quotidiennes et menace leur santé, leurs troupeaux et leurs cultures, sans qu’aucune solution urgente ne soit proposée par l’État.
Les participants ont expliqué que leurs manifestations visaient à affirmer que leur patience était à bout et que le gouvernement militaire bafoue leurs droits fondamentaux sans aucun compte à rendre. Ils estiment que « la persistance de cette situation reflète l’échec du régime mafieux à gérer le pays, laissant les citoyens démunis seuls face à la soif et aux privations quotidiennes ». Dans un contexte d’impasse, plusieurs associations de défense des droits humains et syndicats d’opposition ont adressé une question directe à l’efféminé Tebboune et aux responsables de l’approvisionnement en réseaux d’eau potable concernant la crise de l’approvisionnement en eau dans les wilayas de Batna, de la capitale, d’Oran et des autres régions. Ils ont alerté sur l’ampleur croissante des protestations liées à cette crise, soulignant l’incapacité des mesures techniques adoptées à résoudre le problème. Ces groupes ont également relevé que la soif menace désormais la vie des citoyens dans plusieurs wilayas du pays et que les manifestations traduisent l’ampleur de l’indifférence du gouvernement mafieux, qui persiste à ignorer les souffrances des citoyens, ses mesures superficielles restant incapables de résoudre la crise ou de garantir le minimum de conditions de vie dignes.
