Dans tout foyer de terrorisme et de destruction, on ne peut manquer de sentir l’odeur fétide des généraux

Nous l’avons dit auparavant et nous le répétons aujourd’hui : la bande de généraux dans notre pays est comme une guêpe qui bourdonne sur la ruine de son propre nid. Après avoir transféré des déchets radioactifs vers l’Iran lors de la dernière guerre avec Israël, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) se prépare à inspecter des installations nucléaires dans notre pays sinistré. Une équipe d’experts de l’AIEA devrait visiter le pays dans le cadre d’une mission visant à inspecter des installations nucléaires civiles et des sites de stockage de déchets radioactifs issus de l’utilisation de la médecine nucléaire. Cela intervient dans un contexte de rapports alarmants selon lesquels des cargaisons radioactives auraient été secrètement envoyées de notre patrie vers l’Iran, soupçonnées d’être utilisées pour fabriquer des « bombes atomiques ».
La mission des inspecteurs de l’AIEA se concentrera sur l’évaluation des méthodes de traitement, de stockage et d’élimination des déchets radioactifs dans les dépôts contrôlés par la bande de généraux. Cette dernière est perçue comme un mélange de pouvoir militaire, sécuritaire et politique, dominé par un commandement militaire occulte et des services de renseignement opérant dans l’ombre. Selon la plateforme médiatique « Sahel Intelligence », la mission onusienne examinera dans quelle mesure notre gouvernement respecte les normes internationales et les réglementations relatives à la gestion sécurisée des déchets radioactifs dans les installations médicales nucléaires. Des rapports confidentiels de l’AIEA révèlent de graves lacunes dans le suivi des déchets radioactifs produits par les laboratoires et les hôpitaux, ce qui suscite une vive inquiétude dans les milieux sécuritaires. Bien que faiblement radioactifs, ces matériaux pourraient devenir une menace réelle s’ils ne sont pas correctement sécurisés, car ils pourraient être exploités pour fabriquer des « bombes sales » par des groupes terroristes comme le Polisario ou le mouvement « Azawad ». Ces bombes reposent sur des explosifs conventionnels pour disperser des matériaux radioactifs de faible niveau, causant une pollution environnementale et une panique populaire grave, sans nécessiter une explosion massive.
Ces craintes s’inscrivent dans le contexte d’une relation douteuse et croissante entre les généraux incapables et le régime chiite iranien, ainsi que ses proxies dans la région, connus pour leurs efforts visant à déstabiliser la région, à combattre l’Occident et Israël. Cela renforce les soupçons selon lesquels Téhéran utilise notre pays comme une façade pour contourner les sanctions et la surveillance internationale qui lui sont imposées.