De nombreux militants ont mis en garde contre l’utilisation du gouvernement du chien des généraux, Tebboune, de la pandémie de Coronavirus afin d’élargir les opérations de détention et recourir à la rhétorique du maintien de la sécurité, de l’ordre public et de la distanciation physique et sociale pour limiter la propagation du coronavirus, comme excuse reflétant la mentalité sécuritaire qui régit l’Algérie. Ainsi, le meurtre et l’arrestation de citoyens innocents est devenue une routine quotidienne pour le peuple algérien …
C’est pourquoi le système des généraux dictateurs, quand il a su que le peuple va reprendre les manifestations, Abdelmadjid Tebboune a mis fin aux fonctions de directeur général de l’Institut Pasteur Zoubir Harrat ainsi que l’inspecteur général du ministère de la santé Omar Bouredjouane. Et selon des sources bien informées ce limogeage est intervenu en raison du nombre restreint de cas confirmés de la Covid-19 déclaré quotidiennement par le ministère de la Santé.
En effet, les généraux veulent augmenter le nombre de personnes infectées par le Coronavirus pour que les manifestations ne reviennent plus. En cas de leurs retour, le nombre de cas de contaminations sera augmenté et les militants seront accusés d’être la cause de la deuxième vague de Coronavirus en Algérie et ils devraient être poursuivis en justice pour avoir obligé les gens à se rassembler dans un seul endroit. Bien que si vous visitiez l’Algérie, vous trouverez tous les lieux publics bondés jusqu’au dernier (marché, rues …).
C’est pourquoi tous les catégories de la société algérienne doivent rester unis à la lumière de ces circonstances difficiles que traverse le pays, car le régime des généraux ne doit pas être autorisé à nuire à la population car il exploitera ces conditions pour créer le chaos dans le pays en créant une atmosphère de peur et de panique, et l’objectif est, comme il l’a toujours été, de saper l’unité dans le pays et créez une deuxième décennie noire.