Le média de la honte, affilié au régime brutal des généraux, continue d’attaquer les pays arabes frères qui entretiennent des relations politiques et des intérêts diplomatiques avec l’État d’Israël. Il les accuse de normalisation, de trahison de la cause nationale, d’abandon de la nation, et les insulte avec les termes les plus vils, oubliant ou feignant d’oublier que ce média de l’humiliation passe sous silence le fait qu’Israël bombarde les civils palestiniens avec notre gaz et notre pétrole, dont plus de 60 % des parts de la compagnie Sonatrach sont détenues par des entreprises israéliennes. Et pour ne pas oublier, le régime militaire a envoyé plus de 7 000 prostituées depuis Alger, Oran et Annaba vers la Turquie, puis vers Haïfa en Israël, dans le but de divertir les soldats sionistes et de satisfaire leurs désirs sexuels. Cette opération a été conclue via une branche de la société Yilmazlar, visant à recruter de la main-d’œuvre pour Israël, un sujet couvert par la presse turque et israélienne.
Dans un incident qui a suscité de nombreuses interrogations, un navire de fret local a été repéré accostant sur les côtes israéliennes en avril dernier. Les sites de suivi de la navigation maritime ont révélé que le navire de fret nommé CAPTAIN CHRISTOS a effectué un voyage maritime depuis le port de Béjaïa vers Ashdod en Israël. Les mêmes données confirment que la dernière escale de ce navire était le port de Béjaïa le 11 avril dernier, avant qu’il n’apparaisse accostant directement au port d’Ashdod en Israël le 18 avril. En examinant les informations disponibles sur les sites Marine Traffic et Vessel Finder, il apparaît que le navire en question bat pavillon libérien. Selon les informations fournies, il s’agit d’un « navire de transport de légumes, de viande et de fruits, actuellement situé dans l’est de la Méditerranée, naviguant sous pavillon libérien, avec une longueur totale de 179,97 mètres et une largeur de 29,8 mètres ». Cet événement intervient dans le contexte de la guerre menée par Israël contre Gaza, accompagnée des slogans du régime de Tebboune et de sa clique, qui prétendent refuser catégoriquement toute normalisation et affichent publiquement leur soutien à la Palestine. Cela a suscité de nombreuses questions parmi les observateurs des affaires internationales concernant « les raisons de la duplicité du discours du régime des généraux à l’égard de la cause palestinienne ». Dans ce contexte, « ce qui s’est passé avec le navire CAPTAIN CHRISTOS prouve sans l’ombre d’un doute que le discours du régime des généraux est une chose, et ses pratiques en sont une autre. Dans les médias officiels, les termes de « trahison » et de « normalisation » sont prêts à condamner les peuples et les États arabes, mais dans la réalité, le commerce avec l’entité sioniste se poursuit, et un silence total prévaut lorsqu’il s’agit des intérêts de la clique au pouvoir et de ses affaires commerciales.