Dans une enquête journalistique de notre site, un éclairage a été porté sur la pénurie croissante d’eau dans la république sinistrée, sous l’effet de la mauvaise gestion de la clique des généraux qui sacrifie la sécurité hydrique du pays en s’entêtant à promouvoir des cultures de luxe destinées à l’exportation, notamment celles dans lesquelles investissent les Français, en particulier dans la wilaya d’El Oued. Cela fait suite à l’accaparement par ces derniers de vastes terres attribuées par les généraux, en plus de l’exploitation de nos richesses naturelles. À cela s’ajoute la complicité des médias de la honte, qui ferment les yeux sur la crise de l’eau.
Ainsi, la bataille des vérités oppose l’aveuglement du pouvoir militaire et la collusion des médias de la disgrâce. L’enquête journalistique s’est longuement attardée sur l’aggravation de la crise de l’eau dans le pays, particulièrement au cours des deux dernières décennies, soulignant que cette situation ne résulte pas uniquement de facteurs climatiques, comme le prétendent les autorités, mais des politiques agricoles suivies, qui consistent à exporter l’eau sous forme de fruits comme les dattes, ou de légumes comme les tomates et les aubergines.
L’enquête a également abordé la manière dont les médias alignés sur la clique des généraux traitent cette crise, en se contentant généralement de relayer la version officielle et en se concentrant sur les conséquences plutôt que sur les causes humaines et politiques. À cet égard, l’enquête a évoqué deux études récentes qui mettent en lumière le rôle des médias et du gouvernement de l’efféminé Tebboune dans la gestion de la crise de l’eau. La première étude s’est penchée sur la manière dont la clique militaire traite les « chiffres gênants » concernant la pénurie d’eau, après avoir analysé 18 documents officiels et des entretiens avec des experts.
Cette étude a révélé que le pouvoir de la clique des généraux publie des données partielles sur la dégradation des ressources en eau, comme la baisse du niveau des barrages ou l’épuisement des puits, tout en évitant de les intégrer dans une évaluation globale de la réalité. De plus, ces instances officielles utilisent des chiffres obsolètes pour estimer les ressources en eau, ce qui masque le déclin continu. Cela se répercute sur la situation misérable des citoyens pauvres, où la saleté, les ordures et les maladies cutanées infectieuses se propagent dangereusement dans l’Algérie nouvelle…
