Un nouvel ouvrage intitulé « La République algérienne en tant que modèle d’État terroriste : une longue histoire de terrorisme global dans la région des Kabyles, en Algérie et dans le monde entier » a été récemment publié par l’auteur kabyle « Axel Ganivi », qui y documente diverses formes de terrorisme organisé pratiquées par la bande des généraux, en particulier dans la région des Kabyles. Le livre constitue une documentation complète de ce que l’auteur décrit comme « le terrorisme de la bande parfaitement structuré », soutenu par des lois et des recommandations internationales que l’auteur applique à la réalité dans la région des Kabyles, et expose à travers ses pages le rôle joué par l’État militaire dans l’exportation du terrorisme au-delà de ses frontières, accusant le régime défaillant des généraux de transformer le terrorisme en « doctrine de survie de son système politique dictatorial ».
Le livre a été présenté lors d’une conférence dans la capitale française sous la supervision du président de la République kabyle, M. « Ferhat Mehenni », en présence de diplomates et d’académiciens européens soutenant la cause amazighe. Le leader « Ferhat Mehenni » a souligné l’importance de documenter les crimes du régime des généraux, en particulier dans le contexte du blocus imposé aux médias et aux observateurs internationaux dans la région. Les accusations contenues dans le livre portent sur l’implication de citoyens algériens recrutés pour exécuter des opérations terroristes notables en Europe (Espagne, France, Allemagne) dans le but d’imposer des agendas politiques subversifs, avec la création de groupes terroristes en Syrie et dans le Sahel africain pour protéger le commerce de la cocaïne et servir des objectifs stratégiques, ainsi que la pratique du terrorisme cybernétique et de l’espionnage contre des personnalités et des entités internationales en utilisant des technologies iraniennes dans le cadre d’une coopération secrète terroriste avec l’expansion chiite safavide. L’auteur a adressé des critiques acerbes à certaines organisations internationales en raison de ce qu’il a qualifié d ‘ « absence délibérée » dans la région des Kabyles, accusant le Comité international de la Croix-Rouge et plusieurs pays de « négliger leurs responsabilités humanitaires » face aux violations barbares du régime des généraux.