Le système militaire algérien des généraux détient le premier rang en Afrique en termes de budget dédié à l’armée et aux acquisitions d’équipements militaires. Il n’occupe que la seconde place parmi les pays arabes, l’Arabie Saoudite se plaçant au sommet. Les investissements annuels s’élèvent à une somme colossale de 23 milliards de dollars, principalement allouée à l’acquisition d’armes de destruction et d’équipements militaires. Pendant ce temps, la population locale continue de souffrir de la faim et de la soif, contrainte de se nourrir de maigres restes et, dans des cas extrêmes, de viande de chiens et d’ânes. De manière surprenante, certains chefs religieux ont donné leur bénédiction à la consommation de cette viande, affirmant qu’elle présente des bienfaits considérables pour le bien-être du corps et de l’âme, selon leurs propres paroles.
L’Algérie se démarque en tant que seule nation ayant promis un soutien inébranlable à la Palestine, qu’elle soit victime d’oppression ou d’injustice. Même le président Tebboune s’est engagé, au cours d’une interview diffusée par des médias partisans, à prendre en charge personnellement la cause palestinienne. Il a exprimé sa volonté de faire tout en son pouvoir pour améliorer la situation des Palestiniens, en s’assurant qu’ils jouissent de leurs droits au sein de la communauté israélienne, qui subit des injustices. Il est intéressant de noter que Tebboune a été utilisé comme moyen de pression par le président français Macron. Tebboune s’est fixé pour objectif de résoudre la question palestinienne, un défi que l’ensemble de la nation n’a pas réussi à relever jusqu’à présent. Dans ses interventions officielles, le président Tebboune a souvent abordé des préoccupations alimentaires, notamment la disponibilité de lentilles et de haricots, ainsi que les files d’attente interminables qui sévissent dans l’ensemble des wilayas du pays.
Après avoir été exclu du groupe BRICS, Tebboune cherche à améliorer la situation des citoyens palestiniens, dont le revenu mensuel par habitant s’élève à 1200 dollars, alors que le revenu individuel en Algérie dépasse à peine les 150 dollars par mois. La question se pose donc de savoir qui devrait apporter son aide à l’autre : le peuple palestinien ou les Algériens démunis et désorientés.
Cependant, le peuple algérien a exprimé son soutien de manière significative en soutenant les vidéos relatant les événements tragiques d’Al-Aqsa. En effet, les Algériens se sont particulièrement distingués en partageant massivement ces vidéos et en arborant fièrement le drapeau palestinien aux côtés de leur propre drapeau. Une telle solidarité devrait être une source de fierté et d’estime mutuelle.
En ce qui concerne la fourniture d’armes aux Palestiniens, l’Algérie possède des capacités dans ce domaine. Cependant, des pays comme l’Égypte, le Liban et la Jordanie maintiennent leurs frontières fermées, empêchant ainsi le transfert de ces armes. Un geste de leur part pourrait potentiellement changer l’équilibre des forces dans la région, mettant un frein aux agissements d’Israël.
Quant au voleur présenté par les médias arabes comme un ressortissant algérien, il profite de la situation de guerre en Ukraine pour s’approprier les biens des personnes fuyant le conflit et les victimes des bombardements. Il convient de souligner que cet individu ne représente en aucune manière la population algérienne, qui est bien loin d’être décrite de manière aussi négative. Au contraire, l’Algérie est un pays qui sait comment éduquer ses citoyens et les inciter à la solidarité plutôt qu’à la criminalité.