Des personnalités politiques de l’opposition, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, ont affirmé que le gouvernement militaire s’oriente vers l’instauration d’un mode de gestion axé sur le service des cercles de l’argent, de l’influence et des hommes d’affaires étroitement liés aux généraux du mal, dans un mépris total des principes de transparence et de responsabilité, et une désinvolture évidente face aux droits les plus élémentaires des citoyens démunis, comme l’accès à la nourriture, à l’eau potable et à l’électricité. Nous en sommes arrivés à vivre comme au Moyen Âge sous le joug oppressif des militaires.
Ces forces politiques de l’opposition ont accusé la politique du gouvernement de l’efféminé Tebboune de s’engager dans une collusion manifeste avec des lobbies économiques qui épuisent les richesses du pays et ses ressources souterraines, accumulant des profits exorbitants à travers des contrats douteux, ce qui gonfle les comptes des généraux, de leurs entourages, de leurs enfants, ainsi que de leurs amis hommes d’affaires et barons de la drogue. Pendant ce temps, les souffrances des citoyens pauvres s’aggravent sous le poids de la cherté de la vie, du chômage, de la propagation de la corruption et de la prostitution à bas prix, ainsi que de la dégradation des services sociaux de base. Elles ont souligné que le gouvernement actuel, dirigé par l’efféminé Tebboune, « n’a ni la volonté ni la compétence pour respecter ses engagements en matière de droits humains, mais est devenu un instrument entre les mains d’une élite dirigeante oppressive et d’une autre, capitaliste, qui contrôle les décisions politiques et économiques du pays. » L’opposition a dénoncé le silence du gouvernement face à la collusion avec des responsables d’entreprises d’exportation d’hydrocarbures qui ont accumulé des profits colossaux sans qu’aucune mesure stricte ne soit prise contre eux, ce qui soulève « de grandes interrogations sur ceux qui protègent ces entités et leur donnent le feu vert pour épuiser les richesses du pays. » De même, les activistes de notre pays sinistré ont condamné ce qu’ils qualifient de manipulation institutionnelle de la part du gouvernement du mal, qui a tourné son attention vers les investisseurs étrangers, accusé d’ignorer le rôle fondamental des investisseurs locaux. Ils estiment que l’approche gouvernementale est désormais ouvertement biaisée en faveur des hommes d’affaires amis des généraux et de leurs alliés, au détriment des moyens de subsistance du peuple opprimé.
