La guêpe qui complote la ruine et la destruction de son propre nid n’a pas encore cessé de semer la discorde dans notre pays et dans notre environnement régional. La semaine dernière, des internautes ont largement partagé sur les réseaux sociaux une vidéo choquante documentant le moment où des éléments de l’armée nationale quittaient la wilaya de Tindouf, dans le Sahara, où ils étaient engagés, selon plusieurs activistes, dans des missions de « répression » et de « tyrannie » contre les populations locales. La scène a suscité une colère massive, montrant ces soldats, qualifiés pour la plupart de « mercenaires » ou de « soldats de la bande », transportés à bord d’un camion à ciel ouvert, semblable à une charrette pour bétail ou à des moutons roumains, dans des conditions humiliantes indignes d’êtres humains, et encore moins de militaires censés appartenir à ce que la bande appelle la « force de frappe », selon la description du président efféminé Tebboune.
La vidéo, qui s’est propagée comme une traînée de poudre, a remis en lumière la réalité de l’armée nationale et les « fables propagandistes » véhiculées par les médias officiels, qualifiés de « sanitaires », au sujet de notre puissance militaire. Un activiste a commenté : « Ce sont eux qui sont censés envahir Israël en quelques minutes ? Ils n’ont même pas de moyen de transport décent pour partir en congé de l’Aïd ! » En revanche, la bande de généraux met généreusement à disposition des avions et des voitures de luxe pour les dirigeants du Front Polisario, à commencer par Ibrahim Ghali, surnommé « Ben Battouch », ainsi que pour plusieurs leaders de premier plan et leurs familles, révélant ainsi les priorités du régime des vieillards, comme l’ont exprimé certains observateurs : « Tout le monde profite de l’Algérie… sauf son peuple. » Les hashtags #Armée_Nationale et #Tindouf se sont transformés en plateformes de moqueries et de critiques acerbes parmi les citoyens. Beaucoup d’internautes ont estimé que notre pays souffre d’un « dédoublement politique et économique », une nation riche en pétrole et en gaz qui ne fournit pas à ses citoyens les conditions minimales d’une vie digne, ni même quelques gouttes d’eau pour laver leur misère.
