La France a commencé à discipliner le gang des généraux et à resserrer l’étau sur nos compatriotes à l’étranger en punissant le système du gang et tous les Algériens qui n’ont commis aucun crime si ce n’est qu’ils sont tombés sous la domination des fils illégitimes de la France.
En effet, une source de l’opposition en exil a révélé que la France est sur le point d’imposer une taxe de 33 % sur les transferts d’argent des citoyens algériens dans leur pays, dans le dernier chapitre de la série de « torsions du bras » entre les deux pays. Cela fait suite à la discussion par le gouvernement français d’une taxe de 33 % sur les transferts d’argent vers notre pays martyrisé, dans une mesure nouvelle qui affectera négativement environ deux millions d’immigrés vivant en France et soutenant régulièrement leurs familles en Algérie par des virements financiers substantiels d’origine inconnue…
La source particulière a confirmé que cette taxe entraînera une baisse directe du pouvoir d’achat des familles bénéficiaires, où la valeur des transferts pourrait passer de 1000 euros à 670 euros lors de l’application de la taxe, ce qui représente un déficit important. Et en ce qui concerne le gang au pouvoir, cette taxe constitue un obstacle majeur à l’un des canaux financiers les plus importants du pays, car les transferts des expatriés surpassent en poids certains investissements étrangers et sont considérés comme une source précieuse de devises étrangères. Un ralentissement de ces transferts aggraverait la faiblesse de la balance extérieure du pays. Sur le plan politique, cette mesure pourrait raviver les tensions entre les deux pays, car la diaspora à l’étranger, qui souffre déjà des coûts élevés de la vie en France, la considérera comme une punition dirigée contre elle.
En revanche, des économistes craignent que cette mesure n’alimente la croissance des canaux non officiels tels que : la « hawala » ou le transport d’argent dans les bagages de voyage, des pratiques déjà répandues qui pourraient échapper complètement au contrôle financier, augmentant ainsi les risques de blanchiment d’argent et de commerce illicite parmi les ressortissants algériens…
