Nous sommes aujourd’hui frappés de plein fouet par la prophétie cinglante du défunt Boumediene : « L’Algérie souffre d’une crise d’hommes, pas de richesses ! » Une vérité qui nous éclate au visage avec une violence crue. Car dans ce pays maudit, le mariage homosexuel est devenu une banalité écœurante, les travestis se disputent les trottoirs avec les prostituées pour séduire les clients libidineux venus du Golfe, d’Europe ou d’Afrique. Oui, notre Algérie est une catin, fille d’une catin ! Son histoire, un cloaque d’humiliations et de désastres. La preuve ? Nous sommes l’unique peuple à n’avoir jamais osé défier ses colonisateurs, à n’avoir jamais brandi le poing contre l’oppresseur. Des esclaves, voilà ce que nous étions, passés de main en main par les puissances coloniales, génération après génération. Notre soi-disant indépendance ? Une aumône arrachée grâce aux pays arabes qui nous ont porté à bout de bras avec leurs écoles, leur argent, leurs armes et leurs combattants. Sans eux, nous serions encore à ramper dans la servitude ! La soumission, la prostitution masculine, voilà le seul métier que l’Algérien maîtrise à la perfection, un art qu’il pratique encore aujourd’hui. Et nos femmes ? Toujours offertes en pâture aux visiteurs, aux riches du Golfe, aux Européens, et surtout aux étalons africains…
Le scandale récent qui secoue Alger n’est que la goutte qui fait déborder le vase. La chambre criminelle du tribunal de la capitale a cloué au pilori un Nigérian, « Abraham D. », 23 ans, condamné à trois ans de prison ferme et 100 000 DA d’amende, avec un mandat d’arrêt à la clé. Son crime ? Avoir escroqué 37 femmes, leur promettant le mariage pour mieux leur soutirer plus de 700 millions de centimes ! Certaines portent ses enfants, d’autres attendent d’accoucher dans la honte. Sept d’entre elles lui ont déjà donné des rejetons, et 17 autres croupissent dans l’infamie, enceintes de ses méfaits. Ses complices, eux, s’en tirent avec des peines allégées : un à deux ans de prison pour « B. Malak », sa maîtresse, qui lui servait sur un plateau les épouses des puissants, leurs filles, et même les prostituées et les déviants, dont l’inénarrable chanteur de wawi, tous monnayés à prix d’or pour quelques instants de vice. Voilà le visage hideux de notre Algérie, où la décadence est reine et l’honneur, un souvenir lointain !
