Après la propagation du Coronavirus en Algérie, les citoyens se ruent dans les marchés

Craignant que Blida ne devienne la capitale du virus Corona en Algérie, et de peur de mettre toute la ville en quarantaine afin d’empêcher le virus de se propager pas et obliger ses habitants de rester chez eux …
Dans le cadre des perspectives d’avenir, les citoyens de Blida ont eu recours à l’achat et au stockage de nourriture suffisante pour de longues périodes pour éviter de sortir et de fréquenter les gens afin de se protéger, puisque la demande de nourriture et de légumes a dépassé toutes les attentes. Ainsi les commerçants de Blida commencent à apporter des marchandises d’autres wilayas.
En effet, les commerçants et les importateurs s’attendaient à une grave pénurie de produits de base en raison de l’épidémie du nouveau virus Corona, à Blida.
Une source, qui est un maire de l’une des communes qui a préféré ne pas mentionner son nom, a déclaré dans une interview à «Notre site» que l’épidémie a provoqué un état de panique et de peur dans la wilaya de Blida, où le virus a commencé à apparaître, soulignant qu’une quantité importante de matières agricoles provient de Blida.
En effet, les 6 gares de Blida qui dépend essentiellement du tourisme, affectera gravement l’Algérie et contribuera à la propagation du virus s’il est en effet vrai que Blida est la capitale du virus en Algérie.
La source a également souligné que la fièvre d’achat insensée qui affectait les gens est normale car qu’aucune chose aussi terrifiante n’a traversé le pays, et on s’attendait à une forte hausse des prix au cours de la période à venir en raison de l’impact du virus sur les importations de produits de base et de matières premières.
Lors d’une tournée d’inspection à travers un certain nombre de marchés de la ville, une augmentation relative des prix des légumes et des fruits a été observée par rapport aux prix qui étaient avant l’apparition du virus, ce que certains citoyens ont considéré comme exagéré et un manque de respect pour le pouvoir d’achat du citoyen, en particulier pendant cette période de crise grave. À cet égard, un citoyen d’une quarantaine d’années qui faisait ses courses quotidiennes a déclaré que les prix des légumes et des fruits sont exagérés et ne correspondent pas, comme il l’a dit, aux prix annoncés par les médias (prix de référence). En revanche, une cliente dans le marché de légumes a déclaré que les prix avaient augmenté à la veille de la propagation du virus, qui est une exploitation du pouvoir d’achat du citoyen dans un silence total et complicité de la Issaba des généraux et de l’état.