Nous savons tous que les responsables algériens utilisent l’hypocrisie, les ruses et les fausses promesses pour gagner la confiance du peuple et manipuler les émotions des citoyens afin de rester au pouvoir et d’accéder à des positions politiques élevées.
Tous les présidents algériens, de Boumediene à Tebboune, ont utilisé une arme mortelle appelée démagogie, une arme pleine de discours qui touchent les cœurs mais sans changement réel, une distorsion de l’histoire, des faits et de fausses promesses que les démagogues utilisent pour induire en erreur les personnes arriérées et perdues et manipuler leurs émotions et leurs sentiments.
Pendant des mois le président fantoche la marionnette des généraux, nous a cassés la tête avec son discours plein de mensonge : « je vais ramener 1 000 milliards de dollars au trésor de l’état », « Je vais ramener l’argent pilé et détourné par les généraux corrompus (isaba)». Cependant et selon un journal suisse, le gouvernement suisse a publié un communiqué déclarant que la Suisse attend toujours une demande du gouvernement algérien pour récupérer l’argent algérien déposé dans des banques suisses, détourné par les généraux. En ajoutant que le gouvernement suisse n’avait pas entamé les procédures de gel des fonds suspects en raison de l’absence d’une demande officielle des autorités algériennes et en expliquant que Berne attend toujours l’assistance judiciaire du nouveau gouvernement algérien. Le journal suisse a souligné que le Conseil fédéral qui a gelé l’argent de l’ex-président tunisien Ben Ali, ainsi que l’argent de l’ex-président égyptien Hosni Moubarak et rendu une partie des sommes saisies aux deux pays concernés n’a pas été mis en œuvre de la même manière concernant les fonds des hauts responsables algériens, en particulier des généraux.
Le journal a souligné que la Suisse a adopté des lois législatives qui lui permettent de saisir des fonds suspects appartenant à des politiciens étrangers pour protéger la réputation des banques du pays, qui contribuent de manière significative à son économie. Par conséquent, les autorités algériennes n’ont pas demandé l’interdiction de cet argent afin de le récupérer.
Le journal a déclaré que selon l’avocat algéro-suisse, Lachemi Belhocine que l’Algérie n’avait pas changé, les généraux sont toujours au pouvoir et les manifestants appellent chaque semaine à la libération du pays. Le maître Lachemi Belhocine, président et fondateur d’«Algériens sans frontière» n’a pas cessé de se battre légalement pour permettre au peuple algérien de récupérer l’argent volé par les généraux sans aucune ingérence des autorités algériennes.
Parallèlement, des sources bancaires confirment que 60% de l’argent transféré illégalement en Suisse appartiennent à 6 généraux: le général assassiné Gaid Saleh, le général Saïd Chengriha, Le général Abdelhamid Ghriss, Le général Abdelkader Lachkhem, le général Ammar Athamnia et le général Mohamed Kaidi.