Selon nos sources, après que le tribunal de Boumerdes a condamné de 15ans de prison ferme contre l’ex-DGSN Abdelghani Hamel, ainsi qu’une amende d’un millions de dinars, et 5 ans de prison ferme et un demi million de dinars d’amende contre son fils Chafik Hamel, Abdelghani Hamel et a commencé à crier en disant que « Tout le monde sait que Tebboune et son fils Khaled est qui devrait être arrêté, et pas moi et mon fils. C’est un règlement de compte entre eux (les généraux) et moi à cause de ma déclaration ». « Ils ont inventé ce procès et je ne me tairai pas et je ne me noierai pas seul », a t-il poursuivit.
Khaled Tebboune, le fils du chien des généraux, a comparu devant la justice le 6 décembre dernier pour blanchiment d’argent et contrebande de 700 kg de cocaïne via des conteneurs en provenance du Brésil vers le port d’Oran. Et quand il a été présenté avec d’autres accusés (le maire de la commune de Ben Aknoun et le fils d’un ex-wali), devant le Tribunal de Sidi M’Hamed à la capitale, dans le procès de Kamel Chikhi, dit « El Boucher ». Après que les services de sécurité, qui enquêtaient sur l’affaire, aient trouvé dans le bureau du propriétaire de la cargaison de cocaïne des centaines d’enregistrements (son et image) qu’il faisait pour tous ceux qui entraient dans son bureau selon qu’ils étaient des responsables civils ou militaires et de leurs enfants, y compris le fils de Tebboune Khaled.
Après que la police l’a confronté à ses enregistrements téléphoniques avec « El Boucher » dans lesquels ils parlaient de l’arrivée d’une cargaison de 700 kg de cocaïne, cela a fait s’effondrer Khaled Tebboune face à ces enregistrements et admet qu’il travaille chez son père, l’actuel président de l’Algérie, et c’est lui qui gère tout. Cela a conduit les manifestants, après que Tebboune a gagné les présidentielles, à exprimer leur rejet en représentant la scène de renifler de « farine » au lieu de la « cocaïne » dans un message rappelant au président le scandale l’impliquant lui et son fils.
Des vidéos ont diffusé pendant cette période, des manifestants qui reniflaient la farine blanche lors d’une marche dans la capitale, qui a été lancée immédiatement après l’annonce de la victoire de Tebboune à la présidence et rapportée par les médias locaux et internationaux.