L’Algérie d’aujourd’hui est l’image d’une nation qui s’est soumis et a suivi l’oppresseur.
Depuis que la France a cédé l’Algérie à ses fils illégitimes, les généraux qui ont établi un gouvernement militaire et installé la tyrannie dans ce pays, de nombreux sociologues ont exploré les méthodes et les outils pour la maintenir, tels que la division, la violence contre les dissidents et de nombreuses questions se sont posées, pourquoi le peuple algérien n’a-t-il pas osé désobéir aux généraux ?
Oui, de nombreux penseurs, philosophes et intellectuels politiques ont travaillé pour répondre à cette question dans une tentative de démanteler les mécanismes de contrôle et de tyrannie que les généraux exercent sur le peuple algérien, mais la questions se debouche automatiquement sur une autre quetion, la tyrannie des généraux peut-elle mise en place sans la présence d’un peuple soumis et agenouillé ?…
Pour cacher ses méthodes de contrôle, ces généraux cruels utilisent un groupe de loyalistes, les médias, les intellectuels, et les artistes à répandre l’idéologie de ce régime afin que l’Algérien ne puisse penser et travailler que dans ce cadre qui est complètement tracé par ce pouvoir subordinné à l’Occident capitaliste à laquelle elle est totalement soumise, politiquement, économiquement et militairement.
L’Algérie en proie à une profonde crise économique, avec une inflation record et une pénurie de produits de première nécessité. En plus les services de sécurité et de renseignement sont chargés de traquer les groupes opposants et de les éliminer. Pour cela, ces généraux construisent des prisons entouré par des installations chefs militaires, mais si la tyrannie choisi la défense de ses intérêts, ce qui fait pencher les généraux vers la barbarie et l’arriération, pourquoi le peuple algérien accepte-t-il de jouer le rôle d’esclaves ?