On a déjà vu ou lu sur des pages Facebook ou certains sites d’information internationaux que l’Algérie se classe au premier rang dans le commerce de la prostitution arabo-africaine. Au début, nous avons dit que ce n’était qu’une rumeur fabriquée par le Makhzen marocain. Ce sont nos habitudes de rejeter la responsabilité de nos erreurs sur les autres et ne pas essayer de les corriger.
Mais les récents scandales qui ont éclaté pendant le mois de Ramadan ont remis en question tous les slogans et principes avec lesquels les généraux nous ont cassés la tête…
En effet, en France, et plus précisément à Marseille, un réseau mondial de prostitution et de traite des êtres humains a été démantelé, dirigé par un homme d’affaires français et le fils d’un grand général algérien et d’un éminent homme politique brésilien. Chacun d’eux a un rôle dans ce réseau. Ce qui nous préoccupe ici, c’est le rôle du fils de notre grand général, car tous les rapports indiquent qu’il est le fils du général Chengriha, car il a des courtiers en Algérie, notamment dans les écoles et les universités, et parmi les membres de la communauté algérienne en L’Europe.
Le rôle de ces courtiers est d’amener des mineurs, des femmes célibataires ou divorcées, voire même des homosexuels, et de les inciter à travailler dans le réseau de la prostitution après leur avoir promis de grandes sommes d’argent. Mais, dès qu’ils mettent le pied en Europe, ils deviennent des esclaves entre les mains de cette bande. Mais la chose étrange dans le rapport est que les femmes algériennes étaient les moins payées parmi les autres prostituées, et elles venaient de toutes les wilayas algériennes d’Oran à l’ouest à Annaba à l’est…
Comment en est-on arrivé à cette situation, alors même que l’Algérienne vend son honneur et ne cherche que de quoi satisfaire sa faim et sa soif. Cependant, l’affaire ne s’arrête pas ici, on a récemment découvert que 7 étudiantes au secondaire bénéficiaient du logement covalent fourni par l’État. La question ici est de savoir qu’est ce que ces étudiants ont donné pour bénéficier de ces logements, car des rapports indiquent qu’ils ont eu des nuits rouges avec un ancien directeur à Blida, l’ancien chef du département d’Afron et d’autres responsables dans l’affaire connue sous le nom « du sexe en échange de logement ».