Les généraux souffrent de l’isolement arabe et international et de la haine interne à cause du Sahara occidental

Dans l’une des vidéos, qui s’est propagée en Algérie et a reçu de un grand nombre de vues sur les sites de réseaux sociaux, où un vieil homme apparaît en dans l’un des micros-trottoirs réalisés par l’un des chaînes des généraux. Il leur a dit qu’il avait rencontré une personne qui est très connue du peuple algérien et que Dieu lui a donné la sagesse et une vision pour l’avenir, il lui a dit que la fin du régime des généraux en Algérie sera à cause de la question du Sahara Occidental, et que ce serait la cause de la ruine du pays et du peuple….
Les généraux ont toujours affirmé qu’ils n’étaient pas partie prenante du conflit artificiel entre le Maroc et le Front Polisario sur le Sahara Occidental et qu’ils n’étaient qu’avec la proposition du Polisario, et avec la libération des peuples. Mais sur le terrain, on constate que les généraux ont donné au Polisario la région de Tindouf comme leur quartier général et l’ont financé pendant 40 ans avec plus de 500 milliards de dollars d’armements et d’équipements, rachetant des créances pour la cause du Polisario, et lui achetant un siège au sein de l’union africain. En outre, on peut trouvez les généraux dans n’importe quelle position hostile à la proposition du Polisario à toute conférence internationale, ils sont les seuls à protester et à créer le chaos, puis à se retirer. Et c’était lors de la conférence régionale des directeurs des douanes arabes et africaines, de sorte que la carte du Maroc est apparue complète avec le Sahara occidental lors de la conférence, ce qui a rendu la délégation de généraux folle de rage, a protesté et a dérangé les participants, puis s’est retirée comme d’habitude. L’affaire ne s’est pas arrêtée là. Lors de la réunion de la Ligue arabe chargée de faire face aux mesures illégales d’Israël à Jérusalem, la délégation des généraux a tenté d’inclure un point célébrant la dissimulation du clown, Tebboune et louant sa défense de la Palestine, ce qui a rencontré le rejet et le mépris des Arabes. La délégation a protesté, encore une fois, puis s’est retirée pour faire vivre le régime des généraux, l’isolement arabe et international et la haine interne au milieu d’un mécontentement dans la rue qui pourrait ouvrir la voie à un printemps tardif en Algérie.