L’Algérie est devenu un pays des milices sanglantes

Si le peuple savait, l’étendue de la dispersion et de la division des généraux, du président fantoche Tebboune, le service de renseignement, et avec eux les propriétaires du grand capital, et qu’ils sont réunis sur le gâteau de l’Algérie, se battant pour le gros morceau. Ce qui les unit, c’est un mince fil qui s’appelle les intérêts et l’exploitation du pouvoir et de l’argent pour voler le pays et humilier le citoyen. Et si le peuple pouvait être conscient de cette affaire et coupe sévèrement ce fil mince et renverse la situation sur chacun d’eux, nous aurions le droit d’être les descendants des martyrs et nous jouirions d’un état civil et non militaire.
Tebboune nomme toujours ses fidèles assistants à des postes importants dans le pays et licencie quiconque ne lui doit pas loyauté. Et élargit ainsi peu à peu le champ de ses milices dans le parti de la mort. Quant au général Chengriha, il se venge des ennemis d’hier et a l’œil sur les ennemis d’aujourd’hui. C’est ce qui s’est passé après qu’il a ordonné l’exécution du secrétaire de l’ancien commandant de l’armée, Qarmit Bounoira, et la condamnation à perpétuité de deux anciens généraux hors du pays. De cette façon, ses milices renforcent leur position, et ont du poids et du prestige parmi les autres milices. Quant au dieu du renseignement, le général Toufik et le général Khaled Nezzar, ils liquident l’opposition interne et externe. Et la dernière de leurs victimes, le martyr Hakim Debazi. Par conséquent, leurs milices sont dirigées vers le peuple et frappent d’une poigne de fer tous ceux qui ont tenté de dire la vérité ou de s’opposer aux généraux et patrons de grands projets proches des trois chefs d’Etat (le général Chengriha, le général Toufik et le général Nezzar).
C’est pourquoi les milices leur permettent d’accroître leur richesse et de devenir riches et extrêmement riches aux dépens du misérable citoyen. Cette milice aristocratique s’occupe d’argent, d’influence, d’investissement hors du pays et de promotion du statut de ses familles comme moines dans le temple des dieux d’Algérie.