La situation des femmes divorcées ou veuves en Algérie est devenue un sujet de débat passionné parmi les citoyens, qui oscillent entre l’extrémisme et une tolérance excessive envers les limites et les dispositions de cette question. Dans le contexte des évolutions de la vie moderne, certains interdisent de nombreuses choses, tandis que d’autres sont extrêmement indulgents, ignorant complètement les règles. Ce qui aggrave la situation, c’est l’influence des actrices sur les médias sociaux qui promeuvent un mode de vie après le divorce. Elles entrent profondément dans la période d’attente en se mariant avec des étrangers sans contrat ni formalités, s’engageant dans des relations sexuelles illicites, voyagent, se maquillent et célèbrent avant la fin des délais légaux.
Les comportements des femmes, parfois dus à l’ignorance ou à une intention préalable, suscitent des questions sur la pertinence de la période d’attente et la manière de s’y conformer, tout en évitant l’extrémisme et le mépris. Cela se fait dans une perspective religieuse afin d’éviter le Haram et la propagation d’enfants illégitimes dont l’origine paternelle est inconnue. En Algérie, des déviations graves se produisent pendant la période d’attente, que ce soit pour les femmes divorcées ou les veuves, favorisant la propagation de la prostitution, de l’adultère et la prolifération d’enfants illégitimes. Sur les médias sociaux, des révélations exposent les femmes impliquées dans des relations extraconjugales, exprimant leur vengeance contre des relations maritales qui n’étaient pas à la hauteur de leurs désirs sexuels.
Certaines scènes intimes de divorcées et de veuves pendant leur période d’attente avec des étrangers arabes et africains se répètent, brandissant la devise « Prends un étranger pour te réchauffer, ne lui donne pas de valeur, il te tourmentera. » Celles qui n’ont pas trouvé un amant étranger viennent se préparer en se maquillant et en portant des vêtements courts, exposant leur pudeur et leurs charmes à tous ceux qui passent, parcourant les hôtels et les lieux touristiques pour attraper un amant étranger pendant la période d’attente sans honte ni gêne. Sinon, elles voyagent elles-mêmes en Turquie ou en Espagne. Celles qui n’ont pas assez d’argent vont dans les pays voisins à la recherche d’un amant étranger pour éteindre le feu de leur désir et refroidir leur chaleur sexuelle. Ainsi, la femme algérienne surpasse ses homologues brésiliennes et thaïlandaises en désir sexuel et en pratique, même si elle doit payer des étrangers pour injecter leurs gènes étrangers dans le but d’une fécondation.