Les chocs et les révélations continuent de secouer le paysage politique algérien, portant des atteintes significatives à la réputation du président Tebboune. Après la découverte de ses racines juives et de l’ascendance de sa mère remontant à un rabbin juif algérien, une nouvelle bombe a été lâchée par Noureddine Taboubi, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail, lors d’une interview diffusée sur la chaîne tunisienne, Attessia TV.
Taboubi a révélé que l’épouse de Tebboune, le président autoproclamé de l’Algérie, est d’origine tunisienne. De plus, la femme de son fils est également tunisienne. Le défenseur des droits humains, Oualid KEBIR, a réagi sur Facebook, soulignant que si les affirmations du secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail sont exactes, cela constituerait une violation des conditions de candidature à la présidence selon la Constitution du régime.
L’article 87 de la Constitution algérienne, amendé le 6 mars 2016, stipule que seuls les candidats qui n’ont pas acquis une nationalité étrangère, qui possèdent la nationalité algérienne d’origine, qui professent l’islam, et qui ont 40 ans révolus le jour de l’élection, peuvent être élus à la présidence. De plus, le candidat doit prouver que sa femme détient uniquement la nationalité algérienne et aucune autre.
Cela signifierait que le président Tebboune, dont la femme possède la nationalité tunisienne, occupe illégitimement la plus haute fonction en Algérie. Il aurait contourné les dispositions constitutionnelles de l’article 87 en s’installant à la tête du pays. Cela soulève des questions sur la légitimité de sa présidence et suggère que les généraux de Harkis de la France sont les marionnettistes qui manipulent la destinée du peuple algérien.
En effet, selon Kebir, la démocratie, la loi et les droits de l’homme sont inexistants, et le pouvoir est fermement aux mains d’une poignée de militaires qui dirigent d’une main de fer 40 millions de citoyens algériens, les guidant comme un troupeau de brebis craintives. Toute opposition ou refus de la tyrannie militaire est réprimé violemment, avec les opposants sacrifiés pour maintenir l’héritage décadent des généraux au pouvoir dans le pays de Mickey.