Toutes les nations arabes ne partagent pas le même niveau de patience et de tolérance que des pays fraternels tels que la Tunisie, le Maroc, la Libye et l’Égypte. Ces derniers font face à l’hostilité persistante du régime militaire algérien à travers ses médias corrompus, qui attaquent ces nations chaque fois que la poignée de dirigeants défaillants du pays le commande. La dernière goutte qui a fait déborder le vase de la désolation pour les Émirats arabes unis est la campagne médiatique ignoble orchestrée par les porte-parole du régime militaire visant à ternir leur image et à les diffamer.
Des sources fiables indiquent que les autorités émiraties ont dressé une « liste noire » comprenant des journalistes, des communicateurs, des hommes d’affaires, des responsables gouvernementaux et des personnalités de l’armée et de la société civile impliquées dans ces campagnes diffamatoires dirigées contre les Émirats arabes unis. Selon ces mêmes sources, les autorités d’Abou Dhabi ont pris cette mesure pour dissuader les campagnes dégradantes orchestrées par les porte-parole du régime militaire à leur encontre. Les personnes figurant sur la « liste noire » se verront ainsi interdire l’entrée sur le territoire émirati, et cela pourrait même aller jusqu’à la saisie de leurs avoirs déposés dans les banques d’Abou Dhabi, dans le cadre des sanctions légitimes imposées à cette bande malfaisante au pouvoir.
Le régime en place, accablé par la colère du peuple opprimé, déverse ses propos diffamatoires contre l’État frère des Émirats arabes unis pour exprimer son mécontentement face au rapprochement croissant entre ces derniers et les nations arabes fraternelles qui entretiennent des relations cordiales malgré les différends avec la clique militaire, tels que les pays voisins et frères tels que la Mauritanie et le Royaume du Maroc, comme en témoignent les visites officielles réciproques entre ces nations sœurs et les Émirats arabes unis.