La politique de la bande des vieillards est désormais connue de tous : ils attaquent ouvertement les pratiques religieuses musulmanes et préfèrent se rallier à d’autres croyances, qu’il s’agisse de revêtir l’habit des chiites sur commande de l’Iran ou d’adopter l’attirail des communistes laïques, une option chère aux généraux peu scrupuleux. Leur allégeance envers la Russie se traduit par une acceptation totale des croyances déformées et des religions idolâtres, tandis qu’ils mènent une croisade contre l’islam et ses adeptes. Toute tentative de respecter les préceptes de l’islam authentique est réprimée, tandis que le pays sombre dans le chaos, avec la légalisation de la fornication et de l’homosexualité et le soutien financier aux ennemis de l’islam, au détriment du peuple.
Cette dérive anti-islamique est accompagnée d’un blasphème généralisé contre Dieu en Algérie, où même les plus hauts responsables de l’État se permettent d’insulter ouvertement la divinité sans être tenus pour responsables. En revanche, critiquer le président Tebboune et son clan peut vous valoir une condamnation à la prison à perpétuité ou même à la peine de mort pour trahison. Cette inversion des valeurs est illustrée par le fait que blasphémer contre le Seigneur Tout-Puissant est toléré sans conséquence, tandis que rompre le jeûne pendant le Ramadan est accepté sans réprimande, alors que les dignitaires du pays s’adonnent à l’alcool au palais présidentiel d’El Mouradia, dans un climat de débauche et d’immoralité, refusant même la pluie sur notre terre.
Le dernier acte dans cette campagne anti-islamique est la suppression totale de l’enseignement des sciences islamiques au niveau secondaire, remplaçant ces heures par des cours de philosophie et de musique. Cette action, orchestrée par la bande au pouvoir, témoigne de leur intention de saper les fondements de l’islam en Algérie, tout en éloignant le peuple des véritables enjeux qui l’entourent.
