Nous voyions et entendions parler de situations et comportements déplorables de la part de nos femmes audacieuses, ce qui fait rougir nos fronts. Certaines d’entre elles ont chassé leur mari toxicomane du foyer conjugal pour amener leur amant africain à la maison, au milieu de leurs enfants et de leur famille, n’ayant d’autre occupation que de commettre l’adultère avec lui et avec les audacieuses sœurs. Certaines sont devenues accros à la masturbation avec divers légumes tels que des carottes, des navets et même des stylos scolaires, et il est inutile de préciser comment les jeunes femmes utilisent ces outils et légumes, car les vidéos qui ont fuité le montrent clairement, en plus des femmes qui se précipitent pour s’occuper des réfugiés syriens et se battent violemment entre elles pour conquérir un homme syrien, le prenant pour elles-mêmes, sans partager avec les autres « partagées »… Toutes ces choses peuvent être ignorées, mais quand cela atteint le point où les filles algériennes ont des rapports sexuels avec des ânes et des chevaux, c’est quelque chose qui ne peut être ignoré.
Il est devenu largement connu que notre problème en Algérie est une crise d’hommes et un manque de virilité, car la plupart de nos fils sont préoccupés par le fait de se maquiller et de ressembler à des femmes, et de courir après les clients du Golfe ou européens avec les prostituées locales. Ceux qui restent en Algérie se débattent entre la dépendance à la cocaïne et aux drogues, la marchandise bon marché des généraux, et leur rêve de rejoindre la rive européenne pour échapper à l’enfer des gangs. Avec les hormones chaudes des filles des martyrs, elles ne trouvent personne pour satisfaire leurs désirs sexuels avec la froideur et la faiblesse sexuelle vécues par le citoyen algérien, qui se noie dedans. En raison de la demande élevée et de la surenchère sur les mâles africains et les étalons du Levant, ces femmes privées ont trouvé leur solution dans les ânes et les chevaux, avec une virilité multipliée par des dizaines par rapport à celle des hommes algériens, et leurs relations sexuelles avec les animaux ne leur coûtent pas un centime et ne nécessitent pas de réserver des chambres dans des hôtels de luxe ou des appartements suspects. En retour, elles ressentent un plaisir qu’elles ne trouvent pas avec tous les jeunes algériens, et c’est totalement gratuit. Les photos et vidéos se répandent comme une traînée de poudre, montrant des jeunes femmes prenant plaisir à avoir des relations sexuelles avec des animaux, avec désir et satisfaction. Certaines vont jusqu’à insulter les Algériens et les traiter de pires injures, affirmant haut et fort : « Les hommes en Algérie sont des ânes et des chevaux, tandis que l’homme algérien est comme ma sœur prostituée, ne connaissant que la soumission et la défécation.