Sous les cris creux, les slogans tonitruants et les promesses trompeuses de soutien aux droits des peuples à l’autodétermination et à une vie digne, une réalité sombre se cache. Une réalité où les peuples opprimés, tels que les Palestiniens, les Sahraouis et les Tunisiens, sont laissés pour compte par une élite politique corrompue et égoïste.
Cher lecteur, suivez-moi dans un voyage au cœur de l’obscurité, où la bande de criminels au pouvoir se livre à des manigances impitoyables aux dépens des masses démunies. Mais avant cela, permettez-moi de poser une question : qu’a donc fait le régime de changriha pour nous, alors que nous luttons pour de simples grains de lentilles et de modestes morceaux de pain, devenant ainsi le sujet de moquerie mondiale avec nos interminables files d’attente ?
En vérité, l’aide que nous avons reçue de cette clique au pouvoir s’est avérée aussi futile que leurs promesses vides. Au lieu de nous soutenir dans notre lutte pour une existence décente, ils ont transformé notre désespoir en spectacle mondial, dévoilant ainsi l’étendue de leur incompétence et de leur mépris pour le peuple qu’ils prétendent représenter.
Les dirigeants actuels, avec à leurs têtes Chengriha, sous le prétexte de soutenir les aspirations légitimes des peuples opprimés, se sont révélés être des fossoyeurs de ces mêmes aspirations, contribuant à l’aggravation de leur situation déjà précaire.
En effet, leurs discours enflammés et leurs promesses grandiloquentes n’ont été que des leurres, dissimulant leur inaction et leur exploitation délibérée des peuples pour servir leurs intérêts politiques et personnels.
Prenons l’exemple du peuple palestinien, qui depuis des décennies endure l’occupation et la répression israéliennes. Malgré les déclarations tonitruantes de solidarité et de soutien, les dirigeants en place n’ont rien fait de concret pour alléger leur fardeau, préférant s’engager dans des manœuvres politiques calculées plutôt que de prendre des mesures concrètes pour soutenir leur lutte légitime pour l’autodétermination et la dignité humaine.
Le cas du peuple sahraoui est tout aussi préoccupant, voire plus. Les camps de réfugiés de Tindouf sont devenus des bastions de désespoir et de souffrance, où la maladie, l’ignorance et la famine règnent en maîtres. Au lieu d’apporter un soutien significatif à ces réfugiés, les généraux au pouvoir détournent l’aide humanitaire à leur profit personnel, accentuant ainsi la détresse de ceux qu’ils sont censés protéger.
Quant à la Tunisie, qui a été le théâtre de l’une des premières révolutions de ce nouveau millénaire, elle a été trahie par ses propres dirigeants. Au lieu de consolider les acquis démocratiques et économiques de la révolution, ces derniers ont plongé le pays dans un marasme de corruption, d’incompétence et d’instabilité politique, sapant ainsi tout espoir de progrès réel pour le peuple tunisien.
En fin de compte, les dirigeants en place ne sont que des opportunistes sans scrupules, exploitant la souffrance des peuples pour leur propre bénéfice. Leurs discours creux et leurs promesses vides ne sont que des outils pour maintenir leur emprise sur le pouvoir, laissant derrière eux un héritage de désillusion et de désespoir pour les générations futures.