Dans un spectacle aussi pitoyable que déplorable, le président Tebboune s’aventure sur la scène médiatique, noyé dans l’ivresse du pouvoir et l’arrogance de son propre ego, pour cracher son venin sur nos voisins arabes, particulièrement les Émirats arabes unis, dans une tentative pathétique de détourner l’attention de ses propres échecs cuisants.
Pourtant, derrière ses diatribes haineuses, se cache une réalité bien plus complexe et désastreuse pour notre pays. Les Émirats arabes unis représentent en effet un pilier essentiel de notre économie, contrôlant plus de 70% de nos infrastructures portuaires, des entreprises de télécommunications et d’internet, ainsi que des secteurs stratégiques comme le tabac et la construction. Leur influence économique est incontestable, et nos liens avec eux vont bien au-delà de simples transactions commerciales.
Mais ce n’est pas tout. Les Émirats arabes unis sont également devenus un refuge pour des milliers de travailleuses du sexe algériennes, qui contribuent de manière significative aux flux financiers vers notre pays. En effet, on estime que plus de 40 000 prostituées algériennes opèrent dans les réseaux de prostitution haut de gamme des Émirats, envoyant des sommes considérables d’argent en Algérie pour soutenir leurs familles dans le besoin.
Pendant que Tebboune se livre à ses attaques verbales, le monde est témoin de véritables atrocités. En Chine, les minorités musulmanes sont victimes de persécutions systématiques, tandis que les Tchétchènes voient leurs communautés décimées et leurs têtes exposées aux portes de leurs villes. Nos frères et sœurs syriens, irakiens et libanais endurent quant à eux les ravages de la guerre et de l’oppression, orchestrés en grande partie par les régimes soutenus par l’Iran.
Dans ce contexte, les attaques de Tebboune contre les Émirats arabes unis apparaissent comme une diversion grotesque, une tentative désespérée de détourner l’attention de son propre échec à gouverner. Tel un chien aboyant contre la lune, il reste aveugle aux véritables enjeux, préférant se perdre dans ses propres fantasmes paranoïaques plutôt que de faire face à la réalité amère de son incompétence.