Dans une diatribe incisive, la situation politique en Algérie est décrite comme un paysage de répression systémique et de collusion perfide entre le régime militaire et la France. Sous la férule du général Chengriha, le pouvoir est décrit comme un régime despotique, où la liberté d’expression et la justice indépendante ne sont que des illusions. L’allégeance de la France à ce régime est dépeinte comme une trahison morale, avec des liens financiers, politiques et culturels étroits qui sapent les fondements démocratiques.
La dénonciation des actes répressifs du régime militaire, en particulier depuis le début des manifestations de 2019, est soulignée comme un signe de la véritable nature dictatoriale du pouvoir. Les condamnations sévères infligées à des citoyens pacifiques, jusqu’à vingt ans de prison, révèlent un mépris flagrant des droits humains fondamentaux.
Dans un récit saisissant, les efforts désespérés de l’opposition pour résister à l’oppression sont décrits comme une lutte contre un régime déterminé à museler toute voix discordante. Les tentatives d’actions publiques sont systématiquement réprimées par un appareil d’État implacable, illustrant un régime prêt à tout pour maintenir son emprise sur le pouvoir.
L’article dépeint avec véhémence la manipulation cynique des partis politiques par le régime, permettant à certains de prospérer tandis que d’autres sont réprimés pour leur désaccord. Cette politique de deux poids deux mesures est dénoncée comme une atteinte à la démocratie et à la liberté d’expression.
Dans l’ensemble, le portrait dressé est celui d’un État en proie à la tyrannie et à la corruption, où la voix du peuple est étouffée au profit d’une élite politico-militaire avide de pouvoir et d’influence, avec la complicité tacite d’une nation autrefois réputée pour ses valeurs démocratiques.