Une organisation locale des droits de l’homme, soutenue par une organisation internationale, a révélé qu’à l’époque du général Chengriha, des citoyens innocents sont morts suite à la torture et à la négligence médicale dans les prisons du régime des généraux, appelant à la formation d’une commission d’enquête sur ces catastrophes humanitaires en Algérie.
Dans un communiqué, l’organisation indépendante des droits de l’homme a demandé aux autorités concernées d’ouvrir une enquête sur la mort de citoyens innocents dans les centres de détention inhumains, après avoir documenté des informations faisant état de tortures, de viols et de négligences médicales depuis leur détention dans les sinistres prisons des généraux jusqu’à leur dernier repos.
L’organisation des droits de l’homme a déclaré qu’elle soutenait la création d’une commission d’enquête indépendante, représentée par les familles des victimes et des militants, et a exigé la divulgation de ses résultats à l’ensemble du peuple algérien.
Dans son communiqué, l’organisation a également mentionné le suivi attentif des décès des citoyens, ainsi que des disparitions forcées des fils et filles du mouvement béni, qui sont au nombre de centaines.
L’organisation a souligné que la plupart des victimes et des détenus étaient arrêtés sous prétexte d’insultes envers les symboles de l’État, d’injures envers Tebboune et Chengriha, et de formation de groupes subversifs pour déstabiliser le pays.
Dans son communiqué, l’organisation a accusé le régime barbare d’être pleinement responsable de leurs décès et de leurs souffrances, et a appelé à la formation d’une commission d’enquête sur les circonstances de leur décès.